QUETZALCOATL
La putain et le conquistador

 
Le procès de Maïana s’ouvre. Une épreuve de plus pour elle, qui continue de nous livrer les moindres détails de son aventure. Ayant échappé à ses poursuivants, l’héroïne bravera toutes sortes de dangers mais rencontrera également des alliés, comme cette chamane qui lui enseignera la langue des conquistadores, ces grands êtres blancs et barbus qui étaient venus planter une croix au milieu de son village. Puis Maïana continuera son périple pour atteindre Vera Cruz, la ville des dieux, ces gens qui parlent la langue qu’elle vient d’apprendre. La naïve se fera conduire au "Palais de Quetzalcoatl" : elle doit remettre au dieu ce masque d’or qu’elle s’est vue confier.
 

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur QUETZALCOATL #5 – La putain et le conquistador

 
On n’arrête pas d’avoir mal pour Maïana. Et ces souffrances qu’elle endure s’accrochent à son destin comme son ombre.

La saga Quetzalcoatl est décidément très régulière. Aucune perte de vitesse, aucun essoufflement dans le récit, ni dans le dessin. Et ce n’est pas non plus le changement de coloriste, à partir de ce cinquième tome, qui amoindrira la beauté des graphismes : Jocelyne Charrance prend le relais de Sophie Balland avec tout autant de talent.

A chaque tome qui paraît, c’est la série entière qu’on reprend plaisir à engloutir. Qui se frotte au serpent à plumes s’y pique !
 

Par Sylvestre, le 26 août 2005

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