RAVE
Rave
Haru est toujours en plein combat contre Rushia. Afin de le vaincre, il n’a pas hésité à utiliser Sacrifar, la neuvième forme de l’épée « ten commandments ». Sa victoire semble acquise mais cette arme maudite a déjà pris possession de lui. Il n’entend plus, ne pense plus : tout ce qu’il souhaite c’est détruire.
Voulant sauver son ami, Elie part à la recherche de Plue. Le destin de cet étrange créature est lié au rave master : il saura sans doute quoi faire. Alors qu’Haru s’apprête à tuer son adversaire, Elie lui jette Plue au visage : surpris, il ne peut esquiver et se retrouve avec le nez du drôle d’animal planté au beau milieu du front. Forcément, ça réveille !
Pourtant, au moment où Haru reprend ses esprits, la mémoire des étoiles déborde, envahissant progressivement la grotte dans laquelle lui et ses compagnons se trouvent. Ils doivent fuir pour sauver leur vie mais Rushia, qu’ils croyaient tous vaincu, se relève, engageant un nouveau combat.
Par KOMORI, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
2723453243
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Notre avis sur RAVE #21 – Rave
Rave en est déjà à son 21ème tome et Haru n’a toujours pas achevé sa quête. Il a battu la première salve de méchants, mais, doit maintenant s’attaquer à ceux qui s’en prétendent issus et qui sont, bien entendu, plus forts. En plus, comme si cela ne suffisait pas, ce qu’il cherchait à éviter à tout prix (l’endless, dont on commence à peine à comprendre la nature) fait son apparition. Décidemment, il y en a qui n’ont pas de veine !
Le scénario raconte la lutte d’un groupe de jeunes aux capacités hors du commun, qui se rassemble autour d’un héros pour défaire les forces du mal. Classique mais efficace. On peut cependant regretter l’étirement du récit : il y a de nombreux rebondissements mais qui retardent d’autant la résolution de l’énigme. Un peu longuet donc.
Pour ce qui est du dessin, le graphisme est atypique et un peu déconcertant : un trait simple et dépouillé, des personnages un peu patauds et aux expressions quelque peu surfaites. Mais, on finit par s’y habituer.
L’ensemble est assez sympathique et devrait plaire à un jeune public.
Par KOMORI, le 27 juillet 2006
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