REGULATEUR (LE)
666 I.A.
Le professeur Esculape est donc à l’origine de cette machination, et il pratique le trafic d’organes. Hestia et Ambrosia ont été capturées et servent d’otages pour forcer Aristide Nyx à accepter une mission. Mais les deux jeunes femmes ont réussi à s’enfuir en étant aidées par le Groupe Noir.
Esculape a pris la fuite avec Aristide et sa mère. Hestia est gravement blessée et le groupe qui a récupéré Ambrosia lutte contre des mekkas. Ces derniers arrivent à s’enfuir.
Quant à Hestia, malgré ses blessures, elle va retrouver Moros…
Par berthold, le 6 décembre 2009
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Scénariste :
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Sortie :
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ISBN :
9782756008486
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2 avis sur REGULATEUR (LE) #4 – 666 I.A.
Trois ans ! Trois ans d’attente afin d’avoir la suite de la série Le Régulateur. C’est long, trois ans. J’ai même failli oublier que la série existait. Enfin, le tome 4 est disponible. Alors … j’ai eu quelques mauvais échos avant d’entamer la lecture. Je partais donc avec une mauvaise impression. Finalement, j’ai bien aimé.
Ce tome reste dans l’esprit des précédents. Corbeyran connaît son travail. Il sait construire une histoire, une intrigue et y implanter du suspense. Là encore, de ce côté-là, nous ne serons pas déçus ; l’action est omniprésente. Corbeyran va d’ailleurs placer trois intrigues : nous suivrons ce qu’il advient d’Hestia, d’Ambrosia mais aussi d’Aristide. Ce dernier reste pratiquement passif tout du long de ce récit. Tout cela va se regrouper dans une fin explosive. Nous allons en apprendre un peu plus sur la jeunesse d’Aristide Nyx et d’autres personnages. Mais voilà Corbeyran, en tant que bon feuilletoniste, va nous laisser sur notre faim avec cette dernière image.
Les frères Moreno créent tout de même un sacré univers steampunk avec cette série. Ce que j’aime le plus admirer dans Le Régulateur, ce sont les décors, les véhicules ou les costumes. Il y a de sacrées idées, de sacrés dessins sortis de l’imagination de ces deux artistes. Vous avez droit à deux très beaux plans. Tenez ! Par exemple page 22, case 1. Alors ?
Ils vous offrent aussi une sacrée double-page de batailles qui reste assez surprenante et, ma foi, impressionnante.
Bref, ce tome 4 reste un bon moment de lecture. En espérant que la suite ne mette pas autant de temps à venir, replongez vous dans le monde du Régulateur.
Par BERTHOLD, le 6 décembre 2009
Quasiment trois ans et demie, c’est ce qu’il aura fallu aux auteurs de la série "Le régulateur" pour livrer à leurs lecteurs le 4ème opus de cette saga.
Quelques jours après sa sortie, les critiques (bonnes ou mauvaises) ne fusent pas à part sur Sceneario bien sûr!
Après un tome 3 qui m’avait laissé un goût amer, je découvre enfin le 4ème tome non sans appréhension.
Au premier abord, la couverture ne me provoque ni de coup de cœur, ni sentiment de rejet comme pour les trois précédentes.
Graphiquement et visuellement, c’est dès la premiere planche que l’on comprend: Le tandem Moreno (Marc au dessin et Eric aux couleurs) ne fonctionne décidément pas!
La baisse de qualité graphique observée par une pléthore de lecteurs et d’internautes sur le tome 3 se confirme sur le tome 4, pour ma plus grande déception. Le trait est plat, sans relief ni profondeur et les couleurs qui, dans les tomes 1 et 2, faisaient la richesse de cette série ne mettent plus du tout le dessin en valeur et j’ose le dire, le dessert certainement.
Passée la déception, on essaye tant bien que mal de plonger dans le scénario mais c’est difficile tant cela ma parait terne. Le scénario est pourtant loin d’être au mauvais, au contraire. Il tient la route même si l’avancée de la trame principale n’est pas flagrante… Le point positif s’il ne fallait en retenir qu’un, c’est la narration des débuts d’Aristide en tant que régulateur grâce à un flashback qui nous est proposé par Corbeyran.
Enfin on fait le bilan de sa lecture et on reste vraiment sur notre faim après tant de temps d’attente qui laissait présager un retour au top…
Lorsque je commence une série, j’aime la finir alors je continuerai à suivre ce trio d’artistes en espérant un mieux dans le futur pour le prochain album.
Par Matt, le 9 décembre 2009