RENAISSANCE
Interzone

2084. La Terre est mal en point, l’humanité est en voie d’extinction. Le Complexe est une fédération de civilisations extraterrestres, ses membres ont décidé d’organiser une vaste expédition pour venir en aide à la planète Terre. Swänn et Sätie y participent, accopmpagné de Pablö et Hélène, une humaine. Ils se rendent dans les Hauts-Vexin, pour venir en aide aux malades et trouver l’origine de l’épidemie. Ils tombent sur une vieille connaissance d’Hélène, monsieur Damien.
Quand à Swänn, il est affecté au Texas, dans la portection des gisements pétroliers. Il se lance à la recherche de Liz Hamilton, l’ingénieur responsable des forages, partie dans l’espoir de retrouver sa famille. Leur voiture est repérée du côté d’El Capitan, dans les montagnes Guadeloupe…

Par berthold, le 8 octobre 2019

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Notre avis sur RENAISSANCE #2 – Interzone

Renaissance est une série très ambitieuse, prévue en trois tomes.

Fred Duval a imaginé un futur pas très optimiste pour l’humanité. Il imagine des races extra-terrestres qui se sont alliées pour venir en aide à la Terre.
Dans ce second volet, nous suivons Sätie et Hélène, à la recherche du point de départ de l’épidemie qui a fait de nombreuses victimes. Quand à Swänn, il doit remettre la main sur Liz Hamilton qui veut retrouver sa famille. Sauf que les E.T. ont besoin d’elle pour conjurer les incendies. Comme nous allons le voir, des pièges les attendent.
Nous découvrons aussi le but recherché de ces divers extra-terrestres, avec quelques surprises.
L’intrigue de ce second tome est passionnante d’un bout à l’autre.

Quand à Emem, son talent éclate encore sans ces pages. Ses planches sont sobres, mais très efficaces. Nous avons droit à de belles scènes, servies par des tons de couleurs très inspirés par le sujet et les endroits visités dans ce récit. Les designs de Blanchard permettent d’avoir une originalité dans la conception des vaisseaux et dans l’esthétisme de certaines créatures.

Une série qu’il ne faut pas rater. Un récit de science fiction qui en dit long sur l’avenir de l’homme.

 

Par BERTHOLD, le 8 octobre 2019

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