ROBINSON CRUSOE
Robinson Crusoé

Alors qu’il aurait pu vivre paisiblement, le jeune Robinson, assoiffé d’aventure quitte l’Angleterre pour Afrique et l’Amérique. Rapidement lassé par son sort agréable au Brésil, il décide avec d’autres planteurs de rejoindre l’Afrique pour y chercher de la main d’oeuvre africaine.
Une tempête effoyable détruit le navire. Par miracle Robinson, qui est le seul rescapé du nauffrage, échoue sur une île déserte. D’année en année, attendant l’hypothétique passage d’un navire, il s’installe sur l’île, seul avec sa bible et son chien.

Par aub, le 28 mars 2010

Notre avis sur ROBINSON CRUSOE # – Robinson Crusoé

C’est avec la revue TV, Télé 7 jours, que vous pourrez faire l’acquisition de cette Bande Dessinée. Et toutes les semaines un nouvel album paraîtra avec au programme les Incontournables de la littérature… Oliver Twist, Voyage au centre de la terre, Le livre de la jungle, Germinal…
Initialement parues chez Anodis ces albums sont adaptés par Christophe Lemoine. Ce dernier réussi en quelques 48 pages à nous plonger dans les grandes oeuvres de la littérature internationnale, en nous faisont découvrir le fond général et l’ambiance de ces romans. Loin de retrouver le talent des écrivains de ce roman d’aventure qu’est Robinson Crusoé, il n’en est pas moins que, grâce à cette BD, je me suis personnellement replongé dans mes souvenirs de lecture de mon enfance. Des illustration très classiques font que cette BD, dessinée par Jean-Christophe Vergne, est agréable à la lecture. Et ce moment passé avec Robinson est plaisant. Le trait de Jean-Christophe Vergne, assez épais ne laisse que peu de place aux détails, notre imaginaire prenant régulièrement le dessus.J’ai regretté les couleurs un peu pâles à mon avis, la forêt vierge de cette île déserte aurait mérité d’âtre beaucoup plus verdoyante et rayonnante.

Objet publicitaire par excellence, de nombreuses revues vendues en presse se font un plaisir de séduire les lecteurs avec des gadgets en tous genres : DVD, romans, CD et maintenant BD. Mais au diable les mauvaises langues, même si ces ouvrages ne sont pas d’une extrèmement grande qualité graphique et scénaristique, ils ont au moins le mérite de forcer un peu leur entrée dans les foyers qui habituellement ne lisent pas ou peu. Et si la lecture de ces BDs donnait un peu envie aux plus jeunes de se plonger dans les romans, alors bingo, le pari sera gagné.

Par AUB, le 28 mars 2010

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