ROCHESTER (LES)
Jeunes gens en colère
Londres, ce jour là Ali Sourane, qui vit avec sa mère et sa soeur, reçoit la visite de 5 hommes. Ces derniers lui posent des questions au sujet d’un certain Aziz, puis enferment Ali et sa famille dans une des pièces de la maison avant d’y mettre le feu.
Monsieur Aziz se rend auprès de Mr Bleach et lui confie la disparition de la famille Sourane et la peur qui l’habite depuis, surtout depuis les attentats du 7 juillet 2005. La situation risque d’empirer entre les deux communautés.
Jack Lord et Elza rochester, mariés et divorcés, se retrouvent au sein d’une garden-party et vont être mêlés à ces évènements.
Par berthold, le 1 janvier 2001
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ISBN :
9782800139500
Notre avis sur ROCHESTER (LES) #5 – Jeunes gens en colère
Il y a parfois certaines lectures qui s’avèrent être de très agréables surprises. Les Rochester font partie de celles-là ! Je n’avais pas encore lu un titre de cette série. En découvrant le tome 5, et dès les premières pages, j’ai été agréablement surpris par le dessin, le ton, le récit. J’y ai même découvert un autre Jean Dufaux, scénariste différent de ces oeuvres comme Murena, Djinn, etc…
Avec ce nouvel opus, les auteurs basent leur récit sur un fait d’actualité : les attentats du 07 juillet 2005 qui frappèrent Londres. Dufaux aborde les problèmes raciaux, politiques qui existent entre l’ Occident et le monde islamique. Bien sûr, les auteurs traitent le sujet gravement mais avec une légereté de ton, un humour assez british en quelque sorte. Nous retrouvons notre couple, Lady Elza Rochester et son ex-mari Jack Lord, journaliste. Ces deux là, quand ils sont de nouveau ensemble, cela fait bien sûr des étincelles.
L’intrigue concoctée par Dufaux est vraiment à la hauteur du sujet. Il est servi par le graphisme de Philippe Wurm qui s’avère audacieux, agréable, proche de la ligne claire. Il arrive à nous faire voyager à Londres sans quitter notre fauteuil.
J’ai beaucoup apprécié cette aventure et je ne peux que vous en conseiller la lecture, vous ne serez pas déçus.
Par BERTHOLD, le 18 juin 2007
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