ROCHESTER (LES)
Lilly et le Lord

Un gangster nommé Genino vient de finir son temps de prison. 2 ans qu’il y a passé. 2 ans qu’il a pensé à un moyen de se venger de son ex, Lilly et de celui qui l’avait séduite, un journaliste nommé Jack Lord.
Mais c’est sans compter sur Lady Elza Rochester, l’ex-femme de Jack, qui aimerait bien aussi comprendre pourquoi Jack avait préféré voir cette Lilly…

Par berthold, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur ROCHESTER (LES) #6 – Lilly et le Lord

Lilly et le Lord, sixième tome des aventures des Rochester est aussi le dernier tome  à paraitre. Malheureusement.
Comme vous le verrez, Jean Dufaux vous explique pourquoi la série s’arrête et son regret qu’elle n’est pas connu plu de succès.
Et pourtant, du succès, elle en méritait cette série.

Les Rochester présentait un couple qui vivaient de bonnes histoires policières la plus part du temps. Avec humour aussi. C’est vrai que derrière tout cela, il y avait cette petite pointe d’humour qui égayait les recits. Dufaux y mettait aussi des situations cocasses (comme ici, lorsque Elza se trouve chez Anthony par exemple )ou particulières. Le scénariste jouait aussi sur les mots, les situations avec un grand talent. Il avait aussi crée un couple assez intéressant : Lady Rochester et Jack Lord, venant d’un niveau social different, mariés puis divorcés et lorsqu’ils se retrouvent, cela peut faire des étincelles.
J’aime beaucoup comment Dufaux a traité cette histoire d’amour aussi. Surtout dans le final de ce sixième tome. Je ne dois pas en dire plus pour ne pas vous gâcher le plaisir de lire ce récit là.

Il faut aussi souligner le magnifique graphisme de Wurm. Je reste admiratif de son talent et de son style ligne claire. Il a su aussi nous permettre de nous retrouver à Londres pour accompagner Elza et Jack. Ses personnages féminins ont une telle sensualité, sont d’une telle beauté que le lecteur tombe amoureux d’Elza (ou de Lilly aussi : on comprends Jack ). J’espère que nous reverrons assez vite cet auteur sur une autre série et sur une collaboration avec Jean Dufaux.

monsieur Dufaux, il ne faut pas être en colère contre vous, mais peut être contre les lecteurs qui n’ont pas su apprécier ou découvrir la richesse de cette série. C’est bien dommage car les Rochester mérite vraiment que les lecteurs fassent leur connaissances.
ce sixième tome est encore uen fois une réussite : c’est une très bonne histoire signé d’un Jean Dufaux très inspiré et d’un Philippe Wurm au sommet de son art.

Ne ratez donc pas cette aventure des Rochester, vous le regretterez, je vous le promets.

Par BERTHOLD, le 24 mai 2009

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