ROUGH
Rough

Keisuke Yamato et Ami Ninomiya sont tous deux pensionnaires au lycée Eisen. La coutume des deux dortoirs (garçons et filles) veut qu’une journée en amoureux soit organisée pour deux membres tirés au hasard. Le hasard faisant bien les choses, Keisuke et Ami seront les heureux élus ^^ . Le problème, c’est que, suite à la rivalité commerciale entre leurs familles, leur relation est un peu comme chien et chat… ^^
La journée va être longue, mais les deux adolescents vont par la force des choses commencer à se rapprocher… Qui plus est, Ami est une amie d’enfance de Hiroki Nakanishi, champion de natation et idole de Keisuke. Keisuke, par défi (?), commence alors enfin à prendre confiance en ses capacités réelles pour la nage libre…
Nos deux tourtereaux, dans cet épisode, croiseront également un vieil homme qui leur rappellera un paysage commun… Mystère!… La suite au prochain volume… 😉

Par François Boudet, le 5 février 2011

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Notre avis sur ROUGH #2 – Rough

L’intrigue commence à se densifier ; on découvre avec les personnages eux-même davantage de leur passé, tout en préservant encore du suspense pour la suite – qui est ce vieil homme? Quel est ce souvenir commun?… – Les sentiments amoureux (après ceux de la rancune affichés dans le tome 1) commencent eux aussi à se développer, mine de rien… ; au moins Keisuke reconnait-il que Ami est son « type de fille » (uniquement physiquement, attention !) quand celle-ci lui demande… ^^ Et il est vrai que Mitsuru Adachi dessine très bien son héroïne : sobrement (comme son style), il ne l’affuble pas de gros seins à la mode ou de cheveux multicolores, habillée dans des tenues flashy… Au contraire, elle est menue, a des cheveux noirs coupés court, elle s’habille « normalement », d’une jupe longue et d’une chemise, d’un survêt’, ou encore d’un maillot de bain une pièce pour son sport. Bref, elle est très mignonne et l’on souhaite évidemment, en suivant cela avec amusement car on se doute déjà de la conclusion 😉 , que ces deux là finiront ensemble… ;-))

Par François Boudet, le 23 juin 2005

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