ROYAUMES ENGLOUTIS (LES)
Les fils de la Marée

Le monde d’Oriskar est divisé en deux mondes : celui des démons et celui qui englobe les royaumes fertiles de plusieurs races.
Un jour, deux hommes réveillèrent un Dieu endormi, qui donna la puissance à leur peuple, la tribu du Roxland. Grâce à cette puissance, les démons furent vaincus et repoussés. Mais la puissance divine fut si dévastatrice qu’une partie du royaume fut détruite par les tremblements de terre et les inondations. Et cela continue…
Mais plus que tout, les démons, et Serk leur roi en premier lieu, ne sont pas totalement détruits.
Pour l’empereur Elnar, le royaume ne sera jamais en paix tant que subsisteront ces créatures…

Par PATATRAK, le 1 janvier 2001

Publicité

Notre avis sur ROYAUMES ENGLOUTIS (LES) #1 – Les fils de la Marée

Paquet devient au fil de ses publications un acteur incontournable de l’édition BD.
Pourtant ce premier tome des « Royaumes engloutis » ne m’a pas totalement convaincu. Certes, les dessins sont plutôt réussis (Elias est la dessinateur de la très réussie série Nauja). Personnellement, je les trouve un peu trop « manga », mais ils sont très vivant et donnent beaucoup de rythme à l’intrigue.
De plus, les couleurs sont très belles. Beaucoup de jeux ombrés qui donnent du caractère aux personnages, renforcent certains traits. Bravo.
C’est plutôt du côté du scénario que cela pêche un peu : l’intrigue tarde à se mettre en place (c’est un premier tome, me direz-vous) et surtout – et cela peut paraître paradoxal – je trouve qu’il y a beaucoup d’information à assimiler : l’univers d’Oriskar est assez difficile à appréhender. Un peu comme pour Le Pil, je pense qu’une fois tout cela digérer, le deuxième tome sera plus passionnant.
En elle-même, l’intrigue ne semble pas super originale, mais j’attends pour juger réellement. L’histoire semble devoir compter deux tomes uniquement, et comme, sur la fin, celui-ci réserve quelques bonnes surprises, cela promet une suite bien plus enjouée et palpitante.
Donc patience…

Par PATATRAK, le 2 septembre 2005

Publicité