SABLIER (LE)
Tome 10
Lorsqu’il était élève, Daigo avait eu une institutrice qui avait fait enterrer à sa classe une "capsule temporelle", une sorte de boîte dans laquelle chaque élève avait déposé un objet pour ne le redécouvrir que 20 ans après, lors d’un rendez-vous convenu.
Cette institutrice avait beaucoup marqué Daigo, qui, devenu enseignant à son tour, gardait d’elle le souvenir de quelqu’un de parfait. Or, des années plus tard, après même que la capsule ait été déterrée, le bruit vint aux oreilles de Daigo et d’An que cette enseignante était connue pour être une fieffée menteuse…
Par sylvestre, le 5 octobre 2009
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782505007173
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Notre avis sur SABLIER (LE) #10 – Tome 10
Comme le tome 9, ce dixième et tout dernier volume de la série Le sablier propose des récits annexes à l’histoire principale. Ils sont ici en réalité au nombre de deux, et le premier (Une lettre du passé) s’impose comme étant le plus important puisqu’il totalise 167 pages quand le second n’en compte que 12…
On y retrouve An, mais surtout Daigo qui apparaît enfant, jeune adulte et même homme d’âge plus mûr (à la cinquantaine !). Le thème de démarrage est très original et très sympa : c’est celui de la capsule temporelle (voir le résumé). Très sympa parce probablement, il parle au plus grand nombre. Ceux qui ont vécu le passage à l’an 2000 se souviennent par exemple de ce genre d’initiatives qui ont fleuri ici ou là dans le monde pour marquer le passage de l’avant à l’après. Mais cette « activité » qu’a proposée l’enseignante de Daigo à ses élèves sonne aussi comme un "à la même heure dans 10 ans" ou comme un "rendez-vous sous la Tour Eiffel le 31 décembre à minuit" : ça sent bon les retrouvailles entre amis : on aime !
Cependant, si cette capsule temporelle est un déclencheur, la surprise de la redécouverte des objets confiés au temps n’est pas le but en soi. On passe alors vers une chronique plus intimiste, touchante comme a su l’être et le rester la série Le sablier depuis le début.
Par Sylvestre, le 5 octobre 2009