SABRE ET L'EPEE (LE)
Le Mont des Neuf Merveilles
Erlang, accompagné par Wu Gang et Xiaoying, sont partis reforger Gang Jiang, l’épée noire, la seule qui peut arrêter San-Niang, la sœur d’Erlang et leur ennemi. De ce fait, ils restaureront l’équilibre du monde.
Mais le parcours reste encore semer d’embûches.. San-Niang a envoyé ses guerrières les plus farouches.
Par berthold, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
9782756012612
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Notre avis sur SABRE ET L’EPEE (LE) #4 – Le Mont des Neuf Merveilles
Cela faisait un moment que j’attendais la sortie de ce tome 4 de la série Le Sabre et l’Epée.
Enfin, je vois qu’il est annoncé en ce mois de juin 2009.
Aïe ! Je vois aussi que ce tome 4 clôture la série.
Avec Le sabre et l’Epée, David Chauvel nous avait invité à suivre une histoire se situant en Chine il y a bien longtemps. C’est aussi un conte, une fable, une quête. Nous suivions trois personnages qui avaient pour but de reforger une épée qui permettait de lutter contre les forces du mal.
Mais c’est aussi un récit initiatique où l’humour y avait sa place. Chauvel respectait bien les codes de ce genre de récit. Ceux qui ont connu les films de sabres made in Hong-Kong y reconnaîtront bien le style. L’un des héros jeunes est un peu niais, ne sait pas se débrouiller avec les filles et trouvera forcement la voie.
J’ai pris plaisir à lire cette histoire. Ce quatrième tome plus que les autres, peut être parce qu’il est le dernier et qu’il fait 60 pages. Comme avec sa série Arthur, Chauvel a su nous faire rêver, nous entraîner dans un autre genre d’histoire, dans l’imaginaire. Il a su donner de la consistance et du charisme à ces personnages.
La réussite vient aussi du fait du superbe graphisme de Boivin. Il a su s’adapter aux codes des films de sabres. Il y a des scènes qui sont assez réussi et dont le lecteur peut voir le mouvement entre les cases (voir page 11, par exemple) et donner un certain rythme aux scènes de combats. Il a su insuffler la poésie nécessaire avec de superbes paysages ou cette magnifique fin.
Les couleurs d’Araldi sont assez belles aussi. Admirez les pages 40 à 44 par exemple.
Bref, voilà une très belle série en 4 tomes qui méritent vraiment tourte votre attention
Par BERTHOLD, le 26 juin 2009
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