SAMURAI
Dettes de sang

L’empereur est de plus en plus contesté au sein de son propre palais, et une fillette aux dons mystérieux semble vouloir tirer profit de ces luttes intestines… Takeo et sa compagne Sayuri se retrouvent ainsi au cœur d’une situation complexe et de plus en plus risquée pour l’empereur et son fils Uraku !

Par v-degache, le 4 juin 2024

Notre avis sur SAMURAI #17 – Dettes de sang

Takeo et Sayuri arrivent enfin dans la demeure de l’empereur et découvrent une situation particulièrement tendue. Mouvements de troupes à l’extérieur, conspirations de palais, luttes claniques et jalousies rendent l’atmosphère très lourde. Une fillette mystérieuse semble bien décidée à faire chuter le maître des lieux, à l’aide d’une poupée aux allures vaudou. Quant au possible héritier, Uraku, il est plus attiré par les jeunes filles et le shibari que par l’exercice du pouvoir !

Il est l’heure de reprendre la route !

Jean-François di Giorgio (scénario) et Cristina Mormile (dessin) exploitent parfaitement ce huis clos de plus en plus électrique, jusqu’à l’explosion attendue par le lecteur ! Les ingrédients sont réunis pour faire de ce tome 17 de Samurai une réussite, et l’on replongera probablement au prochain volume pour prendre à nouveau notre dose d’action, mais connaitre aussi l’évolution d’une intrigue non close par ce Dettes de sang. Mystère et zestes d’érotisme viennent pimenter le tout !

Un empereur pas au meilleur de sa forme…

Scénario, dessin et couleurs (de Lorenzo Pieri) de ce tome 17 sont efficaces, et le rythme suffisamment alerte pour nous tenir en haleine jusqu’à la dernière case ! Cédez une nouvelle fois à cette série se déroulant dans un Japon médiéval joliment mis en scène par les trois auteurs !

Par V. DEGACHE, le 4 juin 2024

Publicité