SANCTUARY
Tome 2
L’aniki (aîné) d’Hojô vient de sortir de prison, et il cherche à reprendre du service activement, sauf que ses méthodes diffèrent radicalement. Alors qu’il est plutôt adepte de la force brute, Hojô agit tout en finesse. La guerre entre ces deux là ne fait que commencer, mais l’honneur d’Hojô et son respect pourrait tout changer. Une alliance se profile à l’horizon…
Durant ce temps, le secrétaire général Isaoka qu’Asami tentait de mettre de son côté, se retourne brusquement contre lui, sur une demande du Sôchô, qui voit d’un très mauvais oeil la montée progressive d’Asami. Les dirigeants se méfient de ses deux jeunes loups qui n’ont pas dit leur dernier mot, le bras de fer ne fait que commencer…
Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
2752300026
Notre avis sur SANCTUARY #2 – Tome 2
Petit à petit des personnages viennent s’ajouter dans l’intrigue, la rendant plus dense et plus complexe à chaque fois, avec des personnages hauts en couleurs (bien que ce manga soit entièrement en noir et blanc ^_^). Entre Tokai et Hojô, les méthodes diffèrent radicalement, mais le mélange des genres renforce le récit, et toute cette diversité de personnages, qu’ils soient du bon côté de la barrière ou dans l’ombre, permet de continuer à poser les bases d’une intrigue puissante qui nous laisse sans cesse en suspens entre les multiples rebondissements.
Que ce soit par le scénario, qui tient autant du thriller pour la gestion du suspens, que de l’intrigue politiquo-sociale dans la complexité du récit… il n’y a rien à redire. Les auteurs nous livrent là leur propre vision du système japonais, avec tous ses travers et ses complots, et il faut bien avouer qu’ils mettent en scène superbement leur histoire, que ce soit dans les personnages ou par les dessins, qui, parfaitement réalistes, dépeignent avec justesse l’action de ces mangas.
J’étais déjà fan il y a des années, et mon avis n’a pas changé d’un pouce, c’est une série que je vous recommande chaudement.
Par Siam l'Archiviste, le 25 juin 2005