Scar and romance
Volume 1

Sumire n’est jamais tombée amoureuse et envie ses amies qui vivent une romance. Elle espère que ça va changer en cette nouvelle rentrée. Mais elle se retrouve assise à côté de l’homme qui alimente toutes les conversations, et qui fait peur aux élèves : Leo Ninomiya. 

L’élève est plus âgé que les autres ; il a déjà 20 ans. Selon les camarades de Sumire, Leo aurait déjà été arrêté pour faits de violence. D’ailleurs, il a une cicatrice sur la joue. La jeune fille ressent de l’angoisse dès qu’elle l’aperçoit mais sait qu’elle va devoir s’habituer à ce voisin impressionnant. 

Par legoffe, le 30 juin 2024

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Notre avis sur Scar and romance #1 – Volume 1

L’auteure de Close to Heaven et de Kiss me at midnight propose une histoire de premier amour, mettant en scène un jeune homme désireux de reprendre sa vie en main et une lycéenne douce, mais qui ne manque pas de cran. Un livre brisant les préjugés et les stéréotypes. 

Ce nouveau shojo capte l’attention dès les premières pages. L’héroïne est attachante et le garçon, lui, cache une part d’ombre que le lecteur a envie de découvrir. Sa motivation à reprendre ses études interpelle également. 

Sumire, dotée d’une grande sensibilité, est celle par qui nous découvrons tout cela. Son empathie peut ouvrir des portes que la plupart auraient fermées, enlisés dans leurs certitudes. Le livre dissimule aussi des passages amusants, notamment lorsque l’on découvre que la lycéenne est capable d’une fougue étonnante lorsqu’elle est face à des situations délicates. Elle n’hésite pas, à un moment donné, à venir en aide à Leo, sans même réfléchir. L’occasion, là encore, de briser les idées reçues.

Ainsi, si l’aspect romantique coule de source, le manga recèle d’autres qualités qui en font une bonne lecture. A cela s’ajoutent des dessins raffinés, classiques certes, mais parfaitement en phase avec le récit. 

Les amateurs de shojos seront donc ravis par cette nouvelle série qui compte actuellement 5 tomes au Japon et qui est toujours en cours de parution.

Par Legoffe, le 30 juin 2024

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