SCORPION (LE)
La Marque du Diable
Rome, époque du début déclin de l’église catholique, un homme se
fait appeler le Scorpion. Cette homme même une double vie : dans l’une c’est
un homme de peu de foi, libertin et il vit en profanant les tombes des
saintes reliques, qu’il revend dans sa seconde vie, là, c’est un aristocrate
du nom d’Armando Catalano qui consacre sa vie aux saintes dépouilles…
Mais à Rome, règne depuis la nuit des temps, neuf familles puissantes. A
leur tête, le commandant de l’ordre des moines guerriers : le Cardinal
Trebaldi, dit l’aigle Cardinal…
Une redoutable tueuse, Méjaï, à été engagé par le Cardinal pour tuer le
Scorpion, pourquoi ? Le mystère règne sur le procès de la mère du
Scorpion…
Par mat, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2871293724
2 avis sur SCORPION (LE) #1 – La Marque du Diable
Tout le talent de Marini est exploité dans cette magnifique bd (en
couleurs directes, si je ne m’abuse). Les décors et les costumes sont
sublimes, des recherches très approfondies nous offre un univers presque
identique que celui de l’époque, le scénario est corsé, rythmé et plein
d’action, les personnages sont attachants…
Une BD à lire de toute urgence…
Et vive les moines guerriers !
Par MAT, le 3 septembre 2002
Ah la la la ces couleurs … c’est tout de même très beau … Marini fait vraiment un travail superbe, que ce soit dans les dessins ou les couleurs, il se surpasse.
Pour l’histoire, une bonne vieille manipulation de la part de familles depuis des éons, et hop, le tour est joué. Pas ultra original, mais bon, ce n’est pas forcement désagréable, d’autant plus que c’est bien mené. Des rebondissements, de l’action, un soupçon de violences, mais pas trop, et juste une goutte de beaux corps, qu’ils soient masculins ou féminins… Que demander de plus ?
Une série à découvrir, rien que d’après le premier tome, cela promet… Ce n’est pas demain que mon libraire sera fâché de me voir avec tous ces albums dont il faut enrichir sa collection…
A lire sans plus tarder.
Par Siam l'Archiviste, le 13 février 2004
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