SCORPION (LE)
Hors série : Le procès Scorpion
Rome : le frère Lübeck a été chargé d’enquêter sur celui que l’on nomme Le Scorpion.
Il va interroger certains compagnons de cet Armando Catalano, comme Aristote dit le « Hussard » ou la belle « Méjaï ». il s’approchera même de sa seigneurie Cosimo Trebaldi…
Par berthold, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782505002390
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2 avis sur SCORPION (LE) # – Hors série : Le procès Scorpion
Cette nouveauté de la série Le scorpion n’est pas vraiment la suite du nouveau cycle en cours. C’est un hors-série qui permet donc d’en savoir un peu plus sur Armando Catalano, alias Le Scorpion, et d’en apprendre un peu plus sur certains personnages comme Aristote et Méjaï, car leurs passés nous sont dévoilés.
Bien sûr, les textes sont intéressants et n’ennuient pas le lecteur.
Quant aux illustrations, elles sont bien sur signées Marini. Nous y découvrons des crayonnés, croquis, peintures inédites comme d’autres que nous connaissons déjà. Nous y découvrons (mais ça nous le savions déjà) le talent de Marini pour représenter la gente féminine.
Ce hors-série s’adresse donc surtout aux inconditionnels du Scorpion. Un beau livre mais pas vraiment indispensable.
A noter, pour ceux qui apprécient le talent de Marini, la sortie chez Dargaud le 02 novembre 2007, d’une nouvelle série scénarisée et illustrée par le dessinateur du Gipsy : Les Aigles de Rome.
Par BERTHOLD, le 25 octobre 2007
Ce que j’ai apprécié à la lecture de ce hors-série, c’est que le texte en est réellement un, c’est à dire qu’il en a l’étoffe, qu’on ressent bien qu’il y a eu construction d’un univers et des relations entre les personnages par le scénariste. Ce n’est pas simplement la retranscription d’une interview des auteurs, ni une liste de simples légendes ou de commentaires (qui peuvent au demeurant s’avérer intéressants) à propos des dessins et des croquis qui illustrent le tout.
C’est vrai aussi que la lecture de ce hors-série n’est pas absolument indispensable à la compréhension de la série, mais le lecteur – qui est acheteur, aussi – n’a pas trop cette impression de ne se voir proposer qu’un produit créé pour faire perdurer Le Scorpion en attendant un prochain tome pendant que son dessinateur Marini utilise en réalité du temps pour sa nouvelle série Les Aigles de Rome.
Cela dit, on sait bien quand même que les éditeurs savent tirer profit de la passion que portent les lecteurs pour les séries qu’ils aiment. Ce « procès » laisse donc tout un chacun libre de l’acquérir ou pas. Est-ce pour inciter à l’achat que Méjaï apparaît plus… dénudée qu’elle ne l’est d’habitude ? Qu’allez-vous imaginer ! On n’achète pas un ouvrage juste pour quelques dessins… 😉
Je vous le redis. J’aime cette série et les dessins de Marini (est-ce moi ou ai-je eu l’impression de voir le visage du Scorpion se Walt-Disneyriser un peu ?!?). Et puis cette lecture permet de ressentir autrement les personnages puisque la parole leur est donnée, et avec une pointe d’humour, en plus. Alors, certains me diront que je me suis fait avoir. Je leur répondrai que non, parce que j’ai choisi de me faire plaisir. Et puis voilà, quoi !
Par Sylvestre, le 19 novembre 2007