SECRETS : L'ANGELUS
Tome 2

Voilà l’une des nouveauté très attendue pour cette rentrée 2011, et la réussite de cette série Secrets se confirme avec ce 2° tome (et dernier) de l’Angélus.
Je ne peux que vous conseiller de relire le tome 1 afin de bien vous imprégner à nouveau de l’histoire, pour ne rien manquer et pouvoir savourer avec délectation ce 2° tome.
Le fil conducteur de la série Secrets n’est autre que ces secrets de famille que l’on cache afin d’en préserver les êtres pour lesquels ont a de l’affection. Un jour, la curiosité, la soif de vérité, ou la crainte de ne jamais connaitre un secret, nous donne l’envie de le dévoiler. L’on cherche, l’on gratte, l’on espère et enfin l’on découvre. L’Angélus, fabuleux tableau de Millet, chamboule la vie de Clovis au point qu’il décide de trouver pourquoi un simple tableau lui a autant bouleversé sa routine. Mais c’est sans se douter qu’un secret enfoui au plus profond de lui sera certainement la raison de tant d’émoi devant une toile de maitre.
Le talent de narration de Giroud et la qualité des illustrations de Homs font de cet album (et de cette série) un vrai grand moment de lecture. Tous les indices parsemés dans le premier tome, se dévoilent au fur et à mesure des pages du 2° tome. Le secret se découvre tout doucement, rendant l’histoire captivante et la lecture fascinante.
Le trait de dessin réaliste et les couleurs directes de Homs portent l’histoire et donnent une profondeur indéniable aux personnages et à l’intrigue.
Une vraie réussite comme on les aime.

Prenez le temps, posez vous et savourez… c’est de la bonne BD…

Par AUB, le 14 septembre 2011

Ce nouvel opus de la série “Secrets” est encore une réussite ! J’admire le talent narratif de Giroud et sa capacité à toujours trouver des histoires passionnantes. J’ai relu avec un immense plaisir le premier tome avant de partir à la découverte des réponses sur le passé de Clovis. Quel bon moment de lecture ! Je conseille vraiment à tout le monde ces deux albums, comme je conseille d’ailleurs toute la série.

Par Legoffe, le 29 octobre 2012