SHIKABANE HIME
Tome 1

Makina est une "shikabane hime" : une exterminatrice de morts-vivants. Elle va un jour être d’une grande utilité à un groupe de jeunes qui recherchaient le grand frisson et qui se sont introduits dans un immeuble dont la légende disait qu’il était hanté, qu’il avait « mangé » les gens qui y étaient entrés. Ce qui pouvait passer pour des fabulations s’avérera malheureusement vrai, et les jeunes « aventuriers » devront leur salut à Makina qui, armée, règlera leur compte aux morts-vivants occupant effectivement l’endroit.

Ce que ces jeunes ne savaient pas sur Makina, c’est que si elle était une shikabane hime, c’est parce qu’elle était elle-même une mort-vivante ! Et que comme tous les shikabane hime, elle devait éliminer 108 zombies avant d’enfin gagner sa place au paradis…
 

Par sylvestre, le 20 octobre 2010

Notre avis sur SHIKABANE HIME #1 – Tome 1

A l’instar de la définition du terme "shikabane hime" qu’on trouve au tout début de l’ouvrage, les principes régissant l’existence, les pouvoirs et les devoirs de ces morts-vivants exterminateurs de morts-vivants ne sont pas d’une limpidité absolue… Entre shikabane et shikabane hime, on aura en effet parfois du mal à savoir si on n’a pas perdu quelque chose en route ! Mais au fil du récit, on s’accoutume et nos petites incompréhensions s’estompent.

Shikabane hime ne se révèle pas un trésor d’originalité. Cette bande dessinée montre cependant un potentiel certain et offre de l’action, de l’intrigue, et quelques scènes d’horreur à ceux qui aiment en trouver dans leurs mangas ; tout comme elle met en scène un tandem de personnages principaux très bédégéniques : une Makina sexy et volontaire et un Keisei beau-gosse et incontournable ! Mais cette confluence de tous ces atouts ne convainc pas encore tout à fait…

On ne sait pas trop encore non plus si le rythme de croisière de la série Shikabane hime sera celui d’une saga à épisodes complètement indépendants ou si une trame générale fera la colonne vertébrale d’un tout plus solide. Bref, c’est à voir, c’est à essayer… avant la suite qui portera la lourde responsabilité de séduire ou de désintéresser…
 

Par Sylvestre, le 20 octobre 2010

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