SIBERIA 56
La 13ème mission

La Grande Nebuleuse d’Astronoo. A 80 millions d’années lumière de la Terre. Un vaisseau fait route vers Sibéria, la 56ème planète de pré-colonisation terrienne. Un endroit totalement recouvert de neige et de montagnes escarpées, où les pôles atteignent des températures de moins de deux cents degrés celtium, servis par des vents glacials de 300 km/h et la température dans la ceinture tropicale est entre -10 et -40 degrés celtium.
A l’approche de la planète, les membres du vaisseau commencent à se réveiller pour préparer l’asibériage. Cette mission est la treizième sur Sibéria. Tous les huit ans, un nouvel équipage vient prendre la relève de celui qui attend dans la base.
Mais quelque chose ne va pas ! Trois des cinq moteurs à boucle plasmique ont gelé ! Le quatrième lâche aussi ! Le vaisseau doit se crasher : il n’y a pas d’autre choix. Malheureusement sur les cinq membres, Bennet est grièvement blessé. Il n’est pas transportable pour faire les 250 km qui les séparent de la base. Il n’y a pas d’autres choix que de l’anesthésier. Après cela, les quatre autres se mettent en route. Ils doivent partir à pied : le snowcat est lui aussi inutilisable. Lylith, Gans, Beck et Ned se rendent compte rapidement que le danger peut venir de partout…

Par berthold, le 26 décembre 2013

Publicité

Notre avis sur SIBERIA 56 #1 – La 13ème mission

Siberia 56 est une nouvelle série fantastique écrite par Christophe "Prométhée" Bec et illustré par Alexis Sentenac.

Cette fois-ci, avec Siberia 56, Bec nous emmène vers une lointaine planète qui se révèle inhospitalière pour les membres d’équipages qui viennent de se crasher sur Sibéria et qui tentent ensuite de survivre dans cet environnement hostile avec ces températures glaciales, ces vents de fortes puissantes, mais aussi aux dangereuses créatures !

Bec construit une intrigue solide avec ce nouveau récit. Il nous plonge dans une ambiance qui nous donne froid dans le dos ! L’atmosphère de cette planète, les décors et les différents pièges jouent avec nos nerfs lorsque nous suivons l’équipage dans son périple pour survivre.
Je trouve que Christophe Bec a un don particulier pour entretenir le suspense, pour nous faire croire à ces univers particuliers, à ces endroits inhospitaliers et dangereux pour l’homme.
La série  Siberia 56 commence avec ce tome qui nous met de suite dans l’ambiance et nous donne envie d’en savoir plus sur cette planète. Il y a des passages très réussis comme celui avec la vision du "ver" géant mort qui nous dit que derrière tout cela il y a une "force" encore plus forte. Mais comme on peut le voir, le danger peut être "grand" mais aussi "petit". Mais que nous réserve les prochains épisodes ? J’ai hâte d’en lire plus.

Alexis Sentenac réussit à mettre en images avec un rare brio ce récit. Déjà, la couverture en soi est une oeuvre d’art. Elle nous donne d’entrée le ton de ce qui nous attend dans ces pages. Sentenac crée en image cette planète couverte de glace. Il arrive aussi à nous donner de belles scènes d’épouvante lors des attaques contre les survivants.

Pour ma part, j’ai passé un incroyable moment avec ce premier tome dont il me tarde de lire la suite.
L’un des premiers frissons de 2014 !

 

Par BERTHOLD, le 26 décembre 2013

Publicité