SIECLE DES OMBRES (LE)
La sorcière
Juin 1757. Le Gévaudan. La nuit. La pleine lune Une femme est seule. Soudain, elle est attaquée par une bête géante, une sorte de loup. Elle est armée de pistolets et tire sur la créature qui est touchée. D’autres hommes sortent des fourrés et font feu aussi sur la bête. Celle-ci, qui est touchée par plusieurs balles, prend la fuite. Sur son chemin, elle saute sur une charrette conduite par un homme. Ses agresseurs ont ainsi perdu sa trace.
En fait, la bête a croisé Abeau de Roquebrune qui l’a ramené dans la demeure où il vit avec sa sœur Cylinia. La créature est un de leurs amis. Il est en train de mourir. Au même moment, un homme frappe à leur porte. Il s’agit d’un émissaire du pape Clément XIII…
Par berthold, le 24 janvier 2013
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782756031057
Notre avis sur SIECLE DES OMBRES (LE) #4 – La sorcière
La légende des Stryges époque des lumières.
Voici comment l’éditeur Delcourt annonce la série Le siècle des Ombres, qui en est déjà à son quatrième tome.
L’univers des Stryges a encore beaucoup de choses à dire. Eric Corbeyran trouve l’inspiration pour donner un historique à la légende de ces créatures.
Dans ce tome, intitulé La Sorcière, l’auteur de Zodiaque, donne toujours autant d’importance aux personnages de Cylinia et Abeau de Roquebrune, ainsi qu’à leur ennemi, le baron d’Holbach alias Sandor G.Weltman. C’est surtout ce dernier qui nous intéresse dans ce récit et sa relation avec Donessa, qui pour aider Sandor a tenter de retrouver son enfant qu’il aurait eu avec Cylinia de Roquebrune, va réaliser l’impensable. Mais là, je m’avance. Je ne dois en dévoiler plus.
Les Stryges dévoilent aussi certains de leur secrets et nous assistons au retour de celui qui se fait nommer le Cornu (et qui va jouer un rôle important dans cet opus).
Corbeyran signe un bon scénario qui atteint toujours son but : intéresser le lecteur et le divertir avec une bonne histoire.
Suro fait toujours du bon travail sur la partie graphique. Son trait est assez "grand" pour que vous puissiez l’admirer. En effet, l’artiste use beaucoup de grandes cases dans ses pages, ce qui pourrait en dérouter plus d’un habituer a voir 12 cases dans une page. Néanmoins, cela fonctionne bien ici. De plus, c’est avec un certain plaisir qu’il fait revivre l’époque du XVIIIème siècle et cela se voit à l’écran, pardon, sur la page !
La Sorcière ne déçoit pas et demeure un très bon album. Vu le dénouement de ce tome, j’attends la suite avec impatience et je suis sûr que vous aurez autant envie !
Par BERTHOLD, le 24 janvier 2013
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