SILLAGE
Q.H.I.

J’avais été très surpris par les deux précédents albums de Sillage. Les histoires développées me semblaient assez loin des premiers tomes qui sont mes préférés. J’ai retrouvé dans ce tome 7 ce que j’aimais dans les premiers. Un ton assez léger et beaucoup d’actions. Et surtout il y a des développements sur l’histoire de Nävis et on apprend enfin des choses sur son passé. Juste assez pour se dire que l’histoire progresse enfin car c’était principalement le reproche que je faisais aux deux albums précédent.

Les éléments sont assez éloignés les uns des autres. On apprend des choses sur les bandes blanches qu’a Nävis sur le corps, et que certaines races ont déjà vu des humains et que cela ce n’est pas forcement bien passé. C’est très bien fait, en laissant beaucoup de suspens et de possibilités.

En ce qui concerne le dessin et des couleurs, Buchet est toujours aussi bon. Il alterne différents designs. On trouve beaucoup éléments qui se répètent dans la partie carcérale avec des couleurs métalliques assez sombre pour bien accentuer l’impression de fabrication industrielle, dans la partie médiéval/japonais, on retrouve des constructions traditionnelles en bois donc des couleurs plus avec du marron, bleu et vert pour la nature, et pour la partie tribale, un design qui fait penser aux village africain ou sud américain avec des teintes dans le jaune. Cela pourrait être de trop mais on passe d’une partie à l’autre sans problème.

J’espère que les albums suivants seront dans le même style car c’est ainsi que j’aime cette série.

Par Fef, le 31 août 2004

Dans ce 7ème tome de cette prolifique série, Nävis est très malmenée. Dans le Quartier de Haute Insécurité, il ne pouvait en être autrement. Avec une action très soutenue, on prend plaisir à suivre les péripéties de Nävis pour espérer sauver son ami et mentor. Même si ce tome est un one-shot, il vient à conclure une partie de l’intrigue démarrée dans le tome précédent.
Mais dans ce tome on en apprend un peu plus sur Nävis même. Ainsi, on découvre que les bandes blanches sur son corps ont une signification, et tout ça car Sillage a passé sous silence certaines informations…
Sinon dans cette opus Buchet reste Buchet, et parfois l’infographie donne des petits effets amusants et qui contribuent à mieux intégrer certaines cases dans le découpage.
Au final, ce tome est un bon divertissement et la suite s’annonce prométeuse.

Par Eric, le 6 septembre 2004