SIMPLE COMME L'AMOUR
Tome 2

Lors d’une fête à laquelle ils se sont rendus dans un village voisin, Soyo et ses amis vont parler entre eux, et il viendra aux oreilles de Shige que Soyo aime Osawa. Shige ne le prendra pas forcément mal, mais il accusera le coup quand même.

Soyo et ses amis sortent souvent ensemble, et le nouveau bar qui s’est ouvert, tenu par la maman de Katsu, leur donne l’occasion d’aller faire des karaoké.

Le père de Soyo voit d’un mauvais œil que sa fille fréquente Osawa, et il le lui fait savoir avec bien peu de délicatesse. Soyo comprendra bien vite que ces colères dans lesquelles il part lorsqu’il s’agit d’elle et d’Osawa trouvent leur origine dans une relation que le père de Soyo a entretenue jadis avec la mère d’Osawa…
 

Par sylvestre, le 1 mai 2010

Notre avis sur SIMPLE COMME L’AMOUR #2 – Tome 2

Dans ce second tome, on s’éloigne un peu du côté événementiel de l’arrivée d’Osawa au village pour vivre des séquences relevant plus de la vie quotidienne courante tout en y voyant ajoutés le "facteur Osawa" et les remous que sa venue crée. On a ainsi droit à trois parties distinctes. Il y a celle concernant la fête à laquelle se rendent les jeunes et où il est question de savoir qui est amoureux de qui. Il y a celle concernant le karaoké qui présente de nouveaux personnages tout en déroulant l’histoire, et il y a enfin celle qui fait que les problèmes d’amourettes des enfants dépassent leur seul cadre pour avoir de l’influence sur les adultes et leur comportement. Les colères du père de Soyo et le mystère qui plane encore sur cette relation qu’il aurait eue avec la mère d’Osawa ont l’effet d’un petit coup de fouet sur ce manga qui jusque là restait une paisible histoire d’amitiés enfantines. Reste à savoir si les secrets qui mettent ainsi en rage le père de Soyo valent la peine qu’il fasse tout ce raffut et comment les relations entre les enfants vont en pâtir ou non… A suivre, donc… Là où il y a des secrets de famille, il y a matière à surprendre et à tenir en haleine !
 

Par Sylvestre, le 1 mai 2010

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