SKET DANCE
Le club des anges gardiens
Au lycée, il y a plein de clubs. Mais il en est un qu’on ne trouve pas ailleurs, le Sket (Club des Protecteurs de la vie scolaire). Ils ne sont pas nombreux à en faire partie, mais ils savent occuper le terrain ! Le président du club est le déjanté Bossun. Il est entouré de la brutale et cinglante Himeko, et d’un geek aux allures d’intello, Switch.
Et ils ne s’ennuient pas ces trois là. Toujours prêts à répondre aux appels à l’aide des élèves, ils multiplient les enquêtes. Qui est donc le terrible lanceur de pots de peinture qui gâche la journée de certains lycéens ? Et cette affaire de fantôme qui défraye la chronique ? Seront-ils aussi capables de retrouver le mystérieux amoureux de la jolie Romane Saotome ? Les missions ne manquent pas pour notre intrépide trio !
Par legoffe, le 24 mars 2013
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782820305695
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Notre avis sur SKET DANCE #1 – Le club des anges gardiens
Kazé publie la série d’un nouveau venu, Kenta Shinohara, qui met en scène les aventures de trois lycéens un peu déjantés, dont l’activité “extrascolaire” est de venir en aide à ceux qui le leur demandent.
Une idée intéressante, d’autant que l’auteur imagine des affaires très variées pour mobiliser l’équipe du SKET (pour “Support Kindness Encouragement Troubleshot”). Il a aussi opté pour des personnages au profil marquant et au tempérament détonnant.
Le mangaka soigne également ses dessins. S’il s’agit de son premier livre en tant qu’auteur, on voit qu’il a une longue expérience d’assistant derrière lui. Les graphismes sont fins, détaillés et le découpage est plein de vivacité, parfait pour accompagner le rythme des histoires.
Mais la série a aussi ses défauts de jeunesse. Si Shinohara a trouvé nombre d’idées pour ses enquêtes, il ne sait pas toujours bien les conclure. On a souvent le sentiment que l’histoire est bouclée à l’emporte-pièce, sans doute faute de place. Ses scénarios auraient mérité d’être développés sur plus de pages. L’auteur doit aussi travailler son humour, qui tombe souvent à plat. A moins que nous ne soyons là face à un problème de culture ? Certaines choses m’échapperaient-elles ?
Enfin, les personnages gagneraient à être mieux exploités. Leurs sentiments ne sont pas du tout développés, les choses restent trop en surface. Cela empêche tout attachement aux trois héros, ce qui est pénalisant pour accrocher les lecteurs.
Il y donc du bon et du moins bon dans ce nouveau shonen. Il faudra voir si la série parvient à trouver son rythme dans le prochain volume.
Par Legoffe, le 24 mars 2013
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