Souvenirs de demain

 
Kanbe et Oyamada, toutes deux adolescentes, sont arrivées ensemble dans l’au-delà après leur décès, se tenant la main sans pouvoir se la lâcher, ce qui les empêche de reposer en paix. Afin qu’elles se souviennent pourquoi elles sont ainsi mystérieusement liées, et pour qu’alors leur séparation puisse enfin être possible, un sursis leur est accordé : ensemble, elles vont retourner là d’où elles viennent et découvrir la raison de cette gémellité qui empêche leur accession au Ciel…

Voilà en quelques phrases le pitch du récit intitulé Souvenirs de demain ; un récit qui a donné son titre à ce manga qui est en tout composé de cinq histoires courtes.
 

Par sylvestre, le 1 octobre 2012

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Notre avis sur Souvenirs de demain

 
La première histoire joue sur les possibilités qu’offrent les notions de voyages dans le temps. La seconde traite du malaise d’un jeune garçon rejeté par ses proches. La troisième rassemble plusieurs filles qui se sont rendu compte qu’elles aiment un seul et même garçon manipulateur. La quatrième nous raconte l’histoire de deux artistes en herbe ayant voulu conjuguer leurs talents. La cinquième enfin est celle dont le résumé vous est proposé ci-dessus.

Toutes se déroulant donc dans un contexte différent et suivant une trame différente, ces cinq histoires courtes sont rassemblées dans le premier manga qu’a publié la mangaka Ayuko. Derrière une couverture bien belle, elles sont intéressantes à découvrir et montrent un bon niveau de qualité malgré un dessin relativement avare en détails car jouant plutôt sur les visages et leurs émotions et quelques faiblesses dans la narration de certains passages (transitions un peu surprenantes n’aidant pas à la compréhension, peut-être à cause de la traduction).

Il n’empêche que Ayuko est une auteure dont le travail sera bien accueilli par les francophones la découvrant, d’autant que les éditions Glénat publient en même temps plusieurs de ses titres : ce Souvenirs de demain, mais aussi Proche horizon et The earl and the fairy.
 

Par Sylvestre, le 1 octobre 2012

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