STAR WARS - LEGACY
Le destin de Cade
Les forces de l’Alliance Galactique où se sont regroupées, les troupes de l’Empereur Roan Fel et des Jedis doivent aujourd’hui attaquer pour mettre fin à l’ordre des Siths et libérer l’univers. Cade Skywalker, quand à lui, s’est lancé dans une guerre personnelle contre les forces du Coté Obscur !
La planète bleue du nom de Dac qui se faisait appeler autrefois Mon Calamari est la proie des forces sith qui veulent exterminer ce peuple pour avoir soutenu l’Alliance Galactique. L’amiral Stazi tente de sauver un maximum de personnes sur la planète…
Par berthold, le 31 janvier 2011
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782756025025
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Notre avis sur STAR WARS – LEGACY #9 – Le destin de Cade
Dans ce volume qui reprend les épisodes 47 à 50 da cette série, John Ostrander nous entraine dans ce qui est le début d’une guerre galactique où diverses forces s’affrontent et dont le but est une nouvelle fois d’éradiquer la menace sith. Nous sommes les témoins de diverses alliances entre les forces de l’Empereur en exil Fel et les jedis. Nous assistons à des combats entre chevaliers impériaux aidés de Jedis contre des Siths. Et, bien sûr, nous suivons le destin de Cade Skywalker qui s’est lancé dans sa propre vendetta contre le coté obscur. Cade n’accepte pas encore le fait d’être un jedi, d’assumer son héritage de Skywalker.
Nous apprenons aussi que Dark krayt n’est pas mort et qu’il attend dans son coin… Bref, le lecteur ne s’ennuie pas avec ce volume riche en sensations fortes, en rebondissements et autres scènes spectaculaires.
John Ostrander nous surprend donc une nouvelle fois avec cette saga nous contant le destin de la famille Skywalker.
Le scénariste est toujours accompagné au dessin par la talentueuse Jan Duursema. Elle signe une nouvelle fois des pages qui vous en mettront plein la vue et qui permettent aux lecteurs de passer un très bon moment de lecture et de savourer cette aventure.
Vivement le prochain volume pour que nous découvrions comment tout cela se termine !
Par BERTHOLD, le 31 janvier 2011