STEP UP LOVE STORY
Tome 35

Komatsu Nao est une nouvelle collègue de Makoto et c’est lui son « parrain » dans l’entreprise. C’est donc avec elle qu’il va se rendre à Sapporo, en clientèle, mais ce qui pour eux devait être une mission d’une journée s’allongera pour cause d’intempéries ayant conduit à l’annulation de leur vol retour. Makoto est doublement embêté : il a peur d’une part que sa femme Yura imagine qu’il va coucher avec sa nouvelle collègue dans l’hôtel où ils vont être obligés de passer la nuit, et d’autre part il a très peur de lui-même, étant donné que Komatsu est très belle et ressemble énormément à son premier amour !
 

Par sylvestre, le 13 septembre 2010

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Notre avis sur STEP UP LOVE STORY #35 – Tome 35

L’histoire résumée ci-dessus est la principale que propose ce tome 35 de la série Step up Love Story. Elle met en scène Makoto et sa femme Yura, mais invite bien évidemment une belle nouvelle afin d’ajouter un peu plus de piment à ce manga qui pourtant n’en manquait déjà pas ! Suivent ensuite deux courts récits : le premier dans lequel Matsuzaki prendra un peu la vedette mais la partagera avec la nouvelle recrue de ce tome 35, Komatsu Nao, assurant une certaine cohérence entre tous les épisodes, et le second où Rui franchira un cap important dans l’idylle qu’elle se souhaitait avec un de ses professeurs ! Ce tome se termine en revenant sur le couple héros Makoto/Yura, bouclant la boucle, en quelques sortes, mais commençant par la même occasion de dessiner la prochaine qui sera à découvrir dans la suite.

Comme toujours, l’histoire est généreusement parsemée de scènes très chaudes qui justifient la mention déconseillant cette lecture aux lecteurs et aux lectrices âgés de moins de 15 ans. Des textes intercalaires continuent aussi, avec force sondages relatifs aux sujets « hot » abordés, de faire office de petites pages « sexo » encyclopédiques. Un alibi, s’il en fallait un, pour le coquin lecteur ou la coquine lectrice qui devrait rendre des comptes à qui lui poserait trop de questions sur sa lecture ! Alibi ou pas, d’ailleurs, un des meilleurs prétextes pour s’autoriser à se régaler de cette série étant avancé dans son éditorial par l’artiste mangaka et arguant que comme manger, faire l’amour fait partie du quotidien et qu’alors, à le faire ou à s’y intéresser, autant le faire avec plaisir !

Une histoire sucrée, des belles filles aux formes trop rebondies, souvent, pour être vraies, quelques conseils mine de rien par-ci par là, et le plaisir inavouable (?) de lire un manga efficacement dessiné qui deviendra vite une addiction pour ceux qui en auront savouré ne serait-ce que quelques épisodes…

Pour public averti.
 

Par Sylvestre, le 13 septembre 2010

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