STEPHANE CLEMENT, CHRONIQUES D'UN VOYAGEUR
L'engrenage turkmène
C’est dans un hôtel d’Ashkhabad, au Türkménistan, que Stéphane Clément a retrouvé Téri qui devait lui fournir par un circuit non officiel un visa pour l’Ouzbékistan. Mais ce que le baroudeur ne pouvait pas s’imaginer, c’est que depuis la Suisse, au même moment, la compagne officielle dudit Téri, cofondatrice de l’organisation humanitaire C.A.H.O. se servant d’ailleurs parfois de cette étiquette pour des trafics moins dicibles, avait lancé aux trousses de Téri des hommes missionnés pour lui faire regretter une infidélité qui n’était pas (malheureusement pour lui, mais pas que…) restée secrète…
Par sylvestre, le 1 mai 2011
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782803626618
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Notre avis sur STEPHANE CLEMENT, CHRONIQUES D’UN VOYAGEUR #13 – L’engrenage turkmène
Sept ans. C’est le temps qu’il aura fallu attendre pour voir Stéphane Clément repointer le bout de son nez. Après l’avoir suivi pendant douze tomes chez divers éditeurs, c’est aux éditions Le Lombard qu’on repart avec lui sur des itinéraires parmi les plus originaux, les plus exotiques, voire parmi les plus excitants. Treizième histoire de la série, notez que cet album est numéroté tome 12 : en quatrième de couverture, celui qui équivaut au tome 5 (La malédiction de Surya) n’apparaît pas…
Pour "L’engrenage turkmène", c’est en Asie centrale que Ceppi est allé faire ses repérages. Il a ainsi pu y faire évoluer son héros en connaissance de cause, mettant l’accent sur la pauvreté, l’insécurité ou la corruption, ces marqueurs choisis à dessein parmi d’autres dans cette région pour que l’aventure soit exaltante en plus d’être racée. C’est bon, les bandes dessinées qui font voyager !
Le dessin est par contre toujours aussi… perfectible, pourrait-on dire, avec des visages mal taillés ou des expressions maladroites. Mais c’est devenu le style Ceppi auquel on s’est habitué, n’est-ce pas ?! La mise en couleurs aussi, reste assez surannée ; bien qu’elle soit en phase, pour l’occasion, avec les ambiances, apportant sa petite touche "style soviétique" !
La fin de l’album nous laisse sur un suspense prenant : à en juger par l’envie qu’on a de savoir ce qu’il adviendra du baroudeur de papier Stéphane Clément, on peut affirmer qu’il a réussi son come-back… qu’il nous a refait mettre le doigt dans l’engrenage !
Par Sylvestre, le 11 mai 2011
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