Super Beasts
Volume 1
Kazuki Kisaragi, psychologue et chercheur au centre des sciences humaines, est envoyé en mission sur l’île de Kibitsujima. C’est dans ce lieu, situé à moins de 500 milles nautiques des îles principales japonaises, que sont apparus d’immenses monstres, les Chymer, en même temps qu’une brume mystérieuse.
Pour lutter contre ces créatures, un organisme a été créé, « La Mairie ». Il est doté de soldats et de civils. Leurs scientifiques ont mis au point la seule arme qui parvient à détruire les monstres : des humains génétiquement modifiés, capables de prouesses physiques dépassant l’entendement et surnommés les « sorcières ».
Kisaragi découvre leur existence en même temps que son rôle. Il lui est demandé de prendre la direction de l’équipe des sorcières car elles sont instables psychologiquement. Il existe un risque qu’elles se retournent inconsciemment contre les membres de leur propre camp.
Par legoffe, le 27 juillet 2024
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Sortie :
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ISBN :
9782379503801
Notre avis sur Super Beasts #1 – Volume 1
Ce récit à l’ambiance post-apocalyptique, nous entraîne sur une vaste île urbanisée japonaise, porte d’entrée de monstres qui, s’ils ne sont pas stoppés, pourraient bien menacer toute l’Humanité.
Le manga offre une entrée en matière très rythmée, laissant le lecteur (comme Kisaragi) découvrir progressivement la situation, même si, pour l’heure, on a aucune idée sur l’origine des monstres. Nous commençons seulement à découvrir ce que sont les « sorcières ». Autant dire que la série offre du potentiel, tant en raison des phénomènes fantastiques auxquels les humains sont confrontés qu’en raison de la personnalité des protagonistes. Les jeunes femmes mutantes ont de sacrés caractères et vont certainement rendre le quotidien du psychologue compliqué.
Outre l’action et l’intrigue, Nykken arrive même à glisser, de temps à autre, de petites notes d’humour bienvenues.
Quant à ses dessins, ils sont réussis. Il allie finesse et souci du détail.
Voilà donc une série SF qui, sans révolutionner le genre, mérite l’attention.
Par Legoffe, le 27 juillet 2024