Super Sons (Urban Nomad)

Damian Wayne, alias Robin, a découvert qu’il y a une connection entre une série de crimes et le virus Amazo. Pour enquêter sur ces affaires, il demande l’aide de Jonathan Kent, alias Superboy. Mais entre les deux, faire équipe ce n’est pas facile. L’entente n’est pas la même qu’entre leurs pères.
Au cours de leur enquête, ils affrontent Kid Amazo, et le combat n’est pas aussi facile que le pensait Robin. Lorsqu’il comprend que Kid Amazo compte aussi s’attaquer à la Justice League, le jeune Wayne appelle un allié inattendu : Lex Luthor !

Par berthold, le 22 janvier 2024

Publicité

Notre avis sur Super Sons (Urban Nomad) #1 –

En ce mois de janvier 2024, l’éditeur Urban Comics propose de nouveaux titres à sa collection de « poches », nommée Urban Nomad.

C’est l’occasion de découvrir les aventures des « Super-Fils », Damian Wayne et Jonathan Kent.

Au départ, les deux jeunes héros ne s’entendent pas aussi bien que prévu. Il est vrai qu’entre le caractère de Damian Wayne et celui de Jonathan Kent, cela donne des étincelles. Entre la grosse tête de Robin et le côté boy scout de Superboy, cela ne peut pas vraiment fonctionner. Sauf que Robin a besoin du jeune Kent, même s’il ne le prend pas au sein de son équipe des Teen Titans, à cause de son « jeune » âge.

Tomasi s’amuse avec ces deux personnages. Il y met pas mal d’humour, surtout dans les dialogues entre Robin et Superboy.
Mais n’allez pas croire que Super Sons soit une série pour de jeunes lecteurs. L’intrigue est quand même assez bien construite pour plaire aussi à des lecteurs plus aguerris. On pourra également apprécier la participation de Super Lex, mais aussi d’Alfred et Lois Lane, sans oublier Batman et Superman, dans cette aventure menée tambour battant !

Cette histoire est illustrée par un Jorge Jimenez phénoménal ! Son trait est parfait. Les scènes d’action sont impressionnantes et il y rajoute même quelques touches d’humour entre les deux jeunes garçons.
Certains dessinateurs ratent la façon de mettre en scène des enfants dans ce genre de récit, en oubliant leur vrai âge. Ici, Jimenez met en scène un Robin de 13 ans et un Superboy de 10 ans. Leurs réactions correspondent bien à des enfants de ces âges, tout en gardant à l’esprit que ce ne sont pas vraiment des enfants normaux.

Ce volume de Super Sons est une bonne surprise, un pur divertissement qui ravira petits et grands lecteurs, surtout à ce prix là !

Par BERTHOLD, le 22 janvier 2024

Publicité