The Crow : Skinning the Wolves
Durant la Seconde Guerre Mondiale, dans un camp de concentration, quelque part en Europe…
Un prisonnier est différent des autres. Et ce dernier va faire vivre un cauchemar à ses tortionnaires. De prédateurs, il va en faire des proies…
Par berthold, le 22 février 2024
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Univers :
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Sortie :
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ISBN :
9782383730019
Notre avis sur The Crow : Skinning the Wolves
The Crow est une œuvre de James O’Barr. Elle a marqué toute une génération de lecteurs. Un film avait été tiré de cet ouvrage, réalisé par Alex Proyas, avec Brandon Lee dans le rôle principal et Michael Wincott. Depuis, il y a eu des suites au cinéma, mais aussi en bande dessinée, mettant en scène d’autres personnages revenus pour se venger.
En ce mois de janvier 2024, l’éditeur Vestron publie une nouvelle édition de The Crow : Skinning the Wolves, un récit écrit par James O’Barr, lui-même.
L’intrigue nous entraine quelque part en Europe dans un camp de concentration, où un officier SS dirige l’endroit avec violence. De plus, nous apprenons que cet officier joue aux échecs avec les prisonniers les plus intelligents. Mais si le prisonnier perd, sa vie est aussi en jeu.
Lorsque arrive de nouveaux prisonniers dans ce camp, arrive aussi la Mort. Un inconnu se jette d’un des wagons vides et s’attaque aux soldats, défiant ainsi l’officier devant des prisonniers qui restent sans voix et abasourdis par ce qu’ils sont en train de vivre.
O’Barr n’arrive pas au niveau de son chef-d’œuvre original, mais il parvient à nous captiver tout de même par ce violent récit de vengeance.
C’est Jim Terry qui s’occupe de mettre en images cette histoire.
Il arrive à planter l’atmosphère adéquate à ce récit bien noir et violent. Il est vrai que ce n’est pas facile de dessiner les casques ou les uniformes des soldats SS, mais on s’y fait et cela ne gêne en rien la lecture.
The Crow : skinning the Wolves est un bon comics qui se lit sans déplaisir. Pour les amateurs, cela reste une curiosité à découvrir chez vos libraires.
Par BERTHOLD, le 22 février 2024