THE WALKING DEAD (VO)
Days gone bye
Ce jour là, Rick Grimes, un policier, sort du coma dans lequel il fut plongé après avoir pris une balle. Mais voilà, il se retrouve seul dans l’hôpital, et les premières personnes qu’il croise sont des morts qui marchent et cherchent à se nourrir de chair fraîche. Il quitte le Harrison Memorial Hospital pour essayer de retrouver sa maison. Mais tout le monde a fuit. Il pense que sa femme Lori et son fils Carl sont chez ses beaux-parents à Atlanta. Il passe prendre des armes au poste de police et prend la route vers Atlanta.
Rick va découvrir que le monde a bien changé.
Par berthold, le 9 juin 2013
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
1582406723
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Notre avis sur THE WALKING DEAD (VO) #1 – Days gone bye
The Walking Dead est devenu depuis ses débuts une série culte, à l’énorme succès qui de puis, a été adapté en série TV et même en roman.
L’oeuvre de Kirkman a marqué de son empreinte le monde du neuvième art.
Walking dead est né de l’imagination du scénariste Robert Kirkman (Invicible…) et des crayons de Tony Moore avant que Charlie Adlard "La mort blanche" ne reprenne le flambeau.
Nous découvrons donc un monde dévasté par un fléau où les morts reviennent à la vie et s’attaquent aux vivants. Dès les premières images, nous songeons aux films de Romero : Night of the Living-dead, Zombie, Day of the dead ou à celui de Danny Boyle 28 jours plus tard. Mais là où réside la différence avec ces films, c’est que Robert Kirkman s’intéresse à la psychologie des personnages. Il y a une réelle qualité d’écriture, une attention particulière aux relations entre les différents protagonistes et après lecture, nous sentons que c’est une grande aventure humaine.
Nous faisons connaissance avec Rick, le policier, qui cherche sa femme et son fils et qui va devenir le meneur d’un petit groupe pour tenter de vivre une nouvelle vie. Bien sûr, il y a quelques scènes "gores", il faut bien pour les instants de tension, de terreur, mais ce qui fait le plus peur, c’est justement comment les gens font pour s’en sortir dans des situations pareilles. Comment nous, nous réagirions ?
Kirkman révolutionne le genre. Le dessin de Tony Moore et de Charlie Adlard est parfait pour ce genre de récit. Le noir et blanc, accompagné de trames et niveaux de gris, confère à l’ambiance un certain malaise, mais tout cela fait que Walking Dead risque de devenir une oeuvre phare, fondatrice d’un genre.
Une série à ne pas manquer et qui est traduite par Delcourt en France.
Par BERTHOLD, le 9 juin 2013
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