TINTIN
Au pays des Soviets
Le petit XXeme, toujours désireux de satisfaire ses lecteurs et de les tenir au courant de ce qui se passe à l’étranger, vient d’envoyer en Russie soviétique, un de ses meilleurs reporters : Tintin !
Voilà l’annonce qui début l’album de Tintin au pays des soviets…
Tintin se rend donc au pays des soviets, mais nombre d’individus semblent se liguer contre lui pour l’empêcher d’y arriver, afin qu’il ne raconte pas ce qui s’y passe… Il échappe une première fois à la mort à cause d’une bombe qu’un dangereux individu à posé dans le train… Mais ce n’est pas terminé…
Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Univers :
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Sortie :
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ISBN :
2203001003
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Notre avis sur TINTIN #1 – Au pays des Soviets
Ce premier album de Tintin a un certain charme… tout d’abord parce qu’il est le premier, et que forcement on aime un peu à se replonger dans des albums pas forcement récents, et aussi parce que le graphisme y était exceptionnellement laid… Enfin, il ne faut pas exagérer, mais ce n’est pas particulièrement glorieux… Les rayures des vêtements sont faites sur le corps entier, les postures, les visages, les éléments de décor sont un peu fait n’importe comment, et cela tire un sourire. On se dit que si Hergé se présentait aujourd’hui devant un éditeur avec cet album, il se ferait sûrement refuser sans préambule… Mais ce n’est pas sur, car la BD underground se tourne un peu dans cette veine là… que pour ma part je ne considère pas encore énormément…
L’histoire en elle-même est classique, Tintin gagne à tous les coups, il est malin, rusé et habile, inventif et toutes les qualités que l’on pourra lui trouver. Sinon on ne peut pas dire qu’il soit non violent le Tintin, car les bagarres et les yeux au beur noir, ça le connaît ;o) Il reste que cet album est amusant à lire, de par son âge, et aussi pour les dessins et l’histoire, un tout global qui donne un charme désuet à l’oeuvre… Il faut néanmoins préciser qu’au cours de l’album, les dessins s’améliorent quelque peu, ce qui n’est pas un luxe, car même si le charme de l’ancien est présent, le plaisir de l’oeil est moindre…
A relire avec modération, pour se dire que finalement, tous les grands ont débutés un jour ;o)
Par Siam l'Archiviste, le 13 juillet 2003