TOP COMICS
Top Comics, vol 5

Ellis va subir sont premier baptême du feu avec l’équipe des Hunter Killer. Il doit désamorcer un être humain qui est une véritable bombe à neutron ambulante. Et cette même personne attise les convoitises de nombreux énemis de la démocratie américaine.
Sur Thera, Alia Sparrow et Bruno sont sur le point de quitter la planète afin d’avertir la Terre de la menace qui pèse sur elle.
Et pour finir, la chaine de café Common Grounds est toujours  le lieu privilégié où l’on se dévoile ses petites misères et où on peut refaire la monde.

Par eric, le 1 janvier 2001

Notre avis sur TOP COMICS #5 – Top Comics, vol 5

Avec ce cinquième numéro, on va fermer une époque marquante dans l’existence de cette revue. D’une part, il y a la fin de la mini série Human Kind. Et d’autre part, faute d munitions, on assiste à l’arrêt de Common Grounds. Ansi ces deux séries seront remplacés par les nouveautés que sont V.I.C.E et Freshmen.
La mini-série Humankind s’annonçait prométeuse mais au final la chute de cette histoire m’a un peu déçu. Je trouve que l’aspect opprimé des humains sur Thera n’a pas été réellement exploité par Tony Daniel. J’espère que l’on reverra ce dernier dans les pages de cette revue rapidement.
La série Hunter Killer continue sur son rythme, et si l’histoire livrée ici est touchante on est surpris par sa chute. Une chute qui annonce des développements très intéressants. Au dessin on voit encore un Marc Silvestri très en forme.
Et pour finir on retrouve ma série fétiche : Common Grounds. Du fait de l’alternance des dessinateurs (ormi Dan Jurgens qui est recurrent sur celle-ci) la quatlité des dessins n’est pas de mon goût. Ainsi, je trouve assez moyen le dessin de Sam Kieth sur la première histoire, et pourtant son scénario est vraiment émouvant.. En fait Common Grounds a toujours su joué avec la corde sensible des fans et c’est dommage de la voir disparaitre.
Mais il tarde maintenant de découvrir le prochain numéro de Top Comics ne serait-ce que pour juger des nouvelles séries qui vont se présenter. Et qui sait, peut être qu’un jour y reverra-t-on  Cyberforce?

Par Eric, le 13 février 2006

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