TUNIQUES BLEUES (LES)
Arabesque

Courtes histoires autour d’Arabesque , la jument du caporal Blutch.
Et les tentatives du Sergent Cornélius Chesterfield pour essayer d’en faire un cheval digne de la cavalerie fédéré.

Par berthold, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur TUNIQUES BLEUES (LES) #48 – Arabesque

CHHHHHHAA AAAAAA AAAAAAAA RRRRRRRR RRR GGGGG GGGGG EEEEEEE EEEEEE ZZZZZZ ZZZZZZZ ZZ !!!!!

Ah, le tome 48 des Tuniques Bleues vient de sortir.

Quel plaisir !
Et ce, malgré 48 titres, le bonheur reste intact. Toujours pas de lassitude (il y a certaines séries qui au bout de 6 numéros m’ont lassé), pas de remord à suivre cette série dont je reste un inconditionnel absolu.
Les auteurs, Cauvin et Lambil, se renouvellent toujours dans les gags, les situations.
Ici, ce sont des histoires courtes autour de la jument de Blutch ou l’on apprend sa genèse, sa rencontre avec Blutch et les malheurs de ce qui osent « toucher » Arabesque ! Blutch veille !
Meme avec ces petites histoires , nous ressentons les « horreurs » de la guerre : voir cette histoire ou l’éleveur de chevaux retrouve son troupeau sur le champ de bataille…
Le style semi-réaliste de Lambil fait toujours effet.
Une série qu’il faut avoir lu. et un nouvel album, meme s’il n’est pas inoubliable, reste un très grand moment de bande déssinée.

Par BERTHOLD, le 5 janvier 2005

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