TURO
La lumière du guerrier

Turo et ses compagnons arrivent au village nommé Villeneuve du Ciste. Léa et Bezay sont partis faire des achats et essayer de trouver une belle robe à Léa. Et pour Maldonado, il ne comprend pas ce qui lui arrive : à chaque fois qu’il ouvre une bouteille de vin, son goût est celui de l’eau, ce qui l’ennuie fortement.
Alors que Richard et Turo se promènent dans le village ils retrouvent Bezay et Léa. Ensemble ils voient un troupeau tout dévaster dans la rue. Ils vont réussir à l’arrêter. Ce qu’ils ne savent pas, c’est que dans l’ombre quelqu’un les observe qui vient de les mettre à l’épreuve.
Après cela, ils doivent poursuivre leur quête. Ils vont devoir aller dans un village de nains appelé Myagykal, qui a échappé à la malédiction d’Hélos. Les nains peuvent leur être d’une grande aide…

 

Par berthold, le 17 septembre 2012

Notre avis sur TURO #3 – La lumière du guerrier

Amateur de fantasy et d’aventures, vous allez être comblés avec ce tome 3.

L’auteur, Mateo Guerrero, nous présente une saga assez intéressante qui se joue un peu des codes du genre. Nous avons tous les ingrédients, avec des personnages charismatiques qui ont leurs qualités et leurs défauts. Les méchants ne tombent pas dans la caricature avec du potentiel.
L’intrigue est bien construite et tient la route. On a droit à du suspense et de l’action. Le tout quand même servi avec de l’humour. L’émotion est aussi de la partie avec, notamment la perte d’un des héros.
Cela donne bien envie de poursuivre la lecture de cette saga et de voir comment va évoluer Turo.

Le graphisme de Guerrero, bien servi par les couleurs de Javi Montes, est à la hauteur. On y sent l’influence manga et comics dans ces pages. Ses visages expriment bien l’émotion et il a une belle façon de faire ressortir certaines expressions chez ses personnages féminins. Il sait illustrer aussi des scènes d’actions spectaculaires qui raviront les amateurs.

La lumière du guerrier est une belle surprise qui donne goùt pour une fantasy d’un autre genre.
On guette la suite avec impatience.

 

Par BERTHOLD, le 17 septembre 2012

Publicité