UCHRONIE[S] : NEW BEIJING
Tome 1
New Beijing. Au poste de contrôle 24, un agent de la sécurité voit, sur ses écrans, se dérouler quelque chose d’étrange. Il prévient son superviseur.
A l’aéroport Mao Tze Dong, Zack, son père Charles et sa mère Veronika tentent de prendre un avion. Ils prennent un verre au bar pendant que Charles est parti aux toilettes, mais Zack trouve bizarre que son père revienne si vite et qu’il se soit changé. Il lui donne un papier. Et le temps qu’il se retourne pour payer le serveur, son père a disparu. Puis, Charles revient habillé normalement et Zack comprend que son père est venu d’une autre réalité pour lui remettre un message. Là, tout va déraper. La police vient les arrêter car ils ont payé avec de la fausse monnaie…
Par berthold, le 12 juillet 2013
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782723484046
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Notre avis sur UCHRONIE[S] : NEW BEIJING #1 – Tome 1
New Beijing entame un nouveau cycle pour la saga Uchronie[s].
Ce premier tome toujours écrit par Eric Corbeyran nous entraine dans un suspense et dans une intrigue passionnantes. Il nous montre cette réalité concernant la Chine et ce qui arrive à Charles Kosinski, sa femme et son fils Zack.
Corbeyran signe une intrigue qui arrive dès les premières pages à nous captiver et à nous donner l’envie de lire la suite, tout comme les deux autres titres : New Moscow et New Delhi. D’ailleurs, nous croisons l’un des personnages qui apparait dans l’un des autres opus. Et tout tient bien la route. Le scénario est assez crédible. L’auteur aborde le problème de la politique chinoise actuelle. Ce monde, cet univers-là, pourrait facilement être le notre.
Corbeyran nous propose un panel de personnage intéressant. Il ne tombe jamais dans la caricature, surtout lorsqu’il représente l’autorité chinoise. Et cela peut vous sembler assez "calme" comme récit, mais il s’en passe des choses dans ce premier tome.
La partie graphique a été confiée à Aurelien Morinière. Son style est assez efficace. Que ce soit au niveau des personnages ou des décors, il n’y a rien à dire. Il arrive aussi à entraîner le lecteur dans l’atmosphère particulière de ce récit.
New Beijing démarre plutôt bien et constitue une bonne surprise. J’ai vraiment apprécié la lecture de cet opus. Il n’y a rien à redire que ce soit dans le scénario de Corbeyran ou bien dans le dessin de Morinière.
Vivement la suite !
Par BERTHOLD, le 12 juillet 2013