ULTIMATE HORS-SERIE
Ultimate Daredevil Elektra
A l’université de Colombia, la jeune Elektra Natchios commence son année en compagnie de ses amies Phoebe et Melissa. C’est une jeune fille très volontaire, inflexible qui s’entraine à ses moments perdus aux arts martiaux. Un jour elle rencontre, au détour d’un échauffement en salle de gymnastique, le mystérieux Matt Murdock, un jeune homme aveugle remarquable tant au point de vue physique qu’intellectuel. Leur idylle commence avec passion tandis que la jalousie de certains autres étudiants va pousser Elektra à s’engager dans une sorte de combat dans l’ombre, ou elle va devoir apprendre à notemment assumer ses erreurs.
Par fredgri, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
_200303241
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Notre avis sur ULTIMATE HORS-SERIE #1 – Ultimate Daredevil Elektra
Ce premier numéro est là pour introduire dans l’univers des titres Ultimate les deux personnages de Daredevil et d’Elektra, ses amants maudits de Marvel !
Les titres Ultimate, je le rappelle, sont là pour réactualiser les personnages Marvel auprès d’un jeune public, afin qu’il n’ait pas à s’enflier les 40 d’histoire de la boite pour comprendre un épisode ! Donc progressivement ils ont introduit tout d’abord Spiderman et les X-Men, puis les Avengers dans Ultimate et cette fois c’est les deux héros du film Daredevil ! Bon on peut critiquer l’aspect commercial de ce projet, néanmoins il apparait très vite que ces titres sont aussi plus durs que l’univers de référence (et plus particulièrement les titres écrits par Millar), plus moderne aussi, est ce le tournant d’une époque ?
Alors ce premier Hors-série est une bonne introduction à ces deux personnages nouvelle-version, on s’attache surtout à Elektra car Matt Murdock fait davantage figure de personnage secondaire, avec moins de personnalité que la belle grecque qui est au centre de toute les attentions. On verra bien ou le second numéros nous emmenera d’ailleurs, même si c’est plus que prévisible 😉 !
L’écriture de Rucka est moins ambitieuse que par exemple sur « Whiteout » ou « Queen and Country », elle est simplement efficace et équilibrée, ce qui est le but d’un bon titre mainstream n’est ce pas ! On suit les jeunes filles dans les couloirs de l’université, on les écoute et à aucun moment Rucka n’en fait trop, ni pas assez. De son côté Salvador Larroca a un style plus sobre et plus efficace lui aussi que sur les x men, c’est très agréable et ça l’est d’autant plus que les couleurs du studio Udon sont magnifiques.
un numéro vraiment agréable, assez loin des sampiternelles aventures de super héros en collant. Recommandé.
Par FredGri, le 24 mars 2003
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