Un escalier de sable

Un futur proche. Un contingent de militaires français est envoyé dans l’Est africain, quelque part dans le désert. Ils doivent sécuriser le chantier de reconstruction d’un pont.
Les militaires ont construit leur camp face à la la ville d’Al-Jannah qui est en partie en ruine. Et pour ces hommes et femmes, l’attente est longue.
Le soldat Amara monte la garde à l’entrée du camp en compagnie d’un de ses camarades. Ils discutent lorsque ce dernier tombe au sol, touché par une balle. C’est un sniper qui a fait le coup ! La monotonie du camp français est rompue à partir de ce moment là. Tout en continuant leur mission, d’autres militaires sont la cible du sniper…

Par berthold, le 24 octobre 2018

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Notre avis sur Un escalier de sable

Un escalier de sable est un roman de Benjamin Legrand, paru aux éditions du Seuil, qui a obtenu le Prix Orange du Roman Noir, à Montignac en 2012.. C’est le romancier lui-même, qui signe l’adaptation.

Legrand nous emmène quelques années dans le futur, quelques part dans un pays d’Afrique, à l’Est. Un pays encore en guerre où un contingent de soldats français a pour mission de protéger la construction d’un pont. Mais ces militaires sont la cible d’un sniper.
Legrand nous montre la façon avec laquelle les hommes et femmes de cette troupe vont faire face à cette situation. Des personnalités différentes qui essayent de comprendre cette situation et qui tentent de stopper le tueur.
Legrand nous tient en haleine jusqu’à la dernière page, où tout nous est dévoilé. Avec ce récit, Legrand démontre aussi l’absurdité de la guerre et nous fait comprendre aussi ce que vivent ces hommes et ces femmes, soldats de l’armée française dans ces pays encore en guerre, de nos jours.

C’est Defali qui se charge du dessin, bien connu des lecteurs d’Asphodèle ou de La Loi des 12 Tables entre autres. Son travail est efficace, le rythme est là, qui sert à la perfection le suspense du récit.

Un très bon divertissement qui nous fait réfléchir sur certaines situations dans le monde actuel.

 

Par BERTHOLD, le 24 octobre 2018

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