USA ÜBER ALLES
Base 51
1948. Le département des Landes. Nicolas Charlier roule vers la Base 51 ou il est accuilli par Helmut Hesse qui lui fait la visite. Charlier a rendez-vous avec M. Bloch qui se fait se fait nommer Dassault, en hommage à son frère. Ils assistent à un essai du Messerchmitt ME 163 Komet qui explose avant de décoller…
Dans le bureau de M. Angleton, on se demande si Charlier ne serait pas un espion communiste. Dans son dossier, il y a toujours un trou entre 1941 et 1942, au moment où il était au SOE anglais. Angleton décide de garder un oeil sur le pilote.
Par berthold, le 10 novembre 2015
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Scénariste :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
9782756063577
Notre avis sur USA ÜBER ALLES #2 – Base 51
Base 51 est le second volet du triptyque USA Über Alles, une uchronie imaginée par Jean-Pierre Pécau, se déroulant dans les années 1940, dans un monde où la guerre se poursuit sur le Front de l’Est, où les allemands, après l’attentat réussi contre Hitler, en 1944, ont signé l’armistice avec les forces anglo-américaines.
Nous suivons Nicolas Charlier, pilote d’essai, ancien prisonnier sur le front russe, qui rejoint la Base 51 ou il retrouve un ancien camarade. Ce qui intrigue Angleton, un des officiers de la Base 51. Et si Charlier était un espion des communistes ?
Pécau ne nous en dit pas plus dans ce volet, mais ouvre de nouvelles pistes, qui dévoilent quelques pans mystérieux de la vie de Charlier. Le suspense tient la route.
Ce deuxième tome est plutôt "bavard", avec quelques scènes aéronautiques qui nous offrent tout de même quelques belles scènes d’action. Mais le récit reste captivant dans l’ensemble. Ne faisons pas les difficiles.
Quand à Maza, son trait reste efficace. Depuis Wunderwaffen, on connait son talent pour mettre en images des avions assez impressionnants de réalisme. Ici, il ne déroge pas à la règle. Il est vrai que les passages avec les avions sont quand même les meilleurs moments de ce tome.
Un second volet qui intrigue toujours et qui donne envie de vite lire la suite de cette uchronie assez réussie.
Par BERTHOLD, le 10 novembre 2015
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