VENEZIA
Triple jeu
Nous sommes à Venise au 16ème siècle au beau milieu des guerres que
se font François 1er et Charles Quint où chacun a envoyé un espion dans
l’espoir d’une victoire. Mlle Cantabella, espionne de François 1er se
retrouve nez à nez avec Mr Pintorello envoyé par Charles Quint. Elle est
cantatrice et il est peintre, enfin… c’est comme cela qu’ils se
présentent. A la première minute, ils ne peuvent pas se supporter. Ils vont
donc s’empoisonner la vie le jour et faire l’espion la nuit, sans savoir
qu’ils se connaissent.
Par MARIE, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2205049313
2 avis sur VENEZIA #1 – Triple jeu
Un bon point dès l’achat de la BD (c’est qui m’a poussé) : Lewis Trondheim est à la plume. Gage non négligeable d’une bonne partie de rigolade tout au long du récit.
J’avoue avoir connu ce cher Lewis plus en verve, mais le récit fait mouche, bourré de quiproquo, d’humour, d’action aussi.
En cela, les deux héros sont parfaits : un costaud allemand complètement pataud et une française séduisante, grande gueule… aux allures de fantômette!
Le dessin de Fabrice Parme est parfait, donnant à ses personnages un air très cartonnesque. Tout est accentué : le regard rusé ou faux-jeton, l’air abruti… Le scénario déjà cocasse y gagne encore grâce à lui. Je ne connaissais pas Parme, mais voilà un pinceau ma foi fort séduisant!
Par PATATRAK, le 20 février 2003
Humour, humour et humour. Cette histoire est résolument drôle. Il y a
un imbroglio vaudevillesque avec tous les bons ingrédients des meilleurs
quiproquos qui m’on fait penser aux films anglais « La Panthère rose » avec
Blake Edwards. C’est une suite de farces et attrapes assez irrésistible avec
un petit concentré de ce qu’on trouve dans les cours de récréation. Le
dessin est très cartoon, et, rien qu’à regarder le peintre Pintorello, c’est
déjà la sourire assuré. Je le recommande fortement en cas de blues : -)
Par MARIE, le 27 novembre 2002
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