VENITIENNE (LA)
La Colombe Noire
1499. Venise. La ville est dirigée par le Doge qui a une seule faiblesse : sa nièce Constantza. Il la couvre de cadeaux et accepte tous ses caprices. Mais sa fortune baisse. Cela met en péril la Cité. Ce qui ne l’empêche pas de lui offrir tout de même une grande fête : la fête annuelle du printemps. Dans les bas-fonds de la ville, agit un groupe de voleurs et de tueurs, dont fait partie Lorenzo. Ce dernier est le plus respecté et le plus craint et lorsqu’il s’invite à la fête annuelle du printemps, ce n’est pas juste pour s’amuser. C’est pour enlever la nièce du Doge…
Par berthold, le 13 mai 2014
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782818930977
Notre avis sur VENITIENNE (LA) #1 – La Colombe Noire
La Vénitienne est le nouveau titre d’une nouvelle histoire conçue et imaginée par Patrice Ordas ( La Rafale, L’Ambulance 13…). Avec ce nouveau récit, l’auteur nous conduit à Venise, lors de la dernière année du XVème siècle.
Il nous présente le personnage de Lorenzo et de ses "acolytes" avant de s’intéresser à la jeune et belle Constantza et à son univers.
Avec ce titre, Ordas nous entraine dans un récit de cape et d’épée avec suspense, trahison, violence, vol, viol, vengeance et autres codes qui font tout l’atout de ce genre. Ce récit se lit d’un bloc, on est happé. il nous séduit par son sujet et nous captive jusqu’à la fin. L’intrigue est bien construite et les personnages ont assez d’attrait pour que nous nous sentions concernés par cette affaire. L’auteur aborde aussi le sujet de la religion, des droits des hommes et de la fracture entre riches et pauvres.
Le dessin a été confié à Laurent Gnoni. Son style, son trait, permettent à ce récit d’afficher l’ambiance particulière de ce récit. Il rend un bel hommage à la ville de Venise. On voit aussi qu’il fait un habile clin d’oeil à un célèbre auteur vénitien : Hugo Pratt.
Gnoni donne du rythme à ce récit. On sent bien aussi les personnages en mouvement. Il nous donne quelques moments forts et marquants comme l’enlèvement de la jeune fille au début ou encore ce que va subir Constantza. L’artiste donne aussi une belle vue de la ville de Venise servi par les belles couleurs de Sébastien Bouet.
Ce premier tome est une bonne surprise, qui renouvelle un peu le genre et qui s’avère être un bon moment de lecture dont nous avons envie de découvrir la suite.
Par BERTHOLD, le 13 mai 2014
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