VIE POSTHUME (MA)
Anisette et Formol
Emma a ramené Line chez elle. Voilà deux vieilles dames zombies cherchant à élucider toutes les morts mystérieuses qui ont jalonné la vie du quartier. Car il doit bien se passer quelque chose de grave pour qu’on ait voulu les assassiner.
Quel secret recèle cet endroit ? Emma se souvient alors que son mari passait une bonne partie de son temps à étudier l’histoire du quartier. Avait-il lui aussi des doutes ? La réponse étaient au dessus de la tête des deux défuntes et elles comptaient bien enquêter. Mais Annie, la bonne d’Emma allait peut être bien tout fiche en l’air sans le vouloir…
Par legoffe, le 28 mars 2013
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782723487351
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Notre avis sur VIE POSTHUME (MA) #2 – Anisette et Formol
Les aventures jubilatoires de la vieille dame devenue zombie vont trouver, dans ce second tome, leur conclusion. Après un premier opus exceptionnel d’humour et d’originalité, Hubert et Zanzim ne déçoivent pas leurs lecteurs. La suite est toujours aussi drôle et les personnages toujours très attachants.
Les dialogues fourmillent de dérision, les situations sont cocasses et le scénario ne souffre d’aucun temps mort (si je puis dire). Et si les mystères du quartier vont être levés, les auteurs nous entraînent aussi dans d’autres lieux et, notamment, sur la route du Sud, direction Nice et le Negresco. Car, comme le dit Emma, “il n’y a que des vieux là bas, nous passerons plus facilement inaperçues. Nous sommes à peine plus délabrées que certains d’entre-eux.” Voilà, tout est dit ! Nos mamies zombies sont d’une vigueur à faire pâlir les vivants.
Leurs aventures ne sont pas totalement loufoques. Les messages sur les dérives de notre société y sont multiples : argent, intolérance, pollution font partie de l’oraison funèbre. Mais tout ceci se fait avec un esprit de gaieté étonnant. Nous évoluons ainsi au coeur de ce polar humoristique et romanesque avec un réel bonheur. L’histoire recèle tant d’optimisme que, pour un peu, la peur de la mort passerait au cercueil. Quel talent messieurs !
Par Legoffe, le 28 mars 2013
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