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VOIE DU SAMOURAI (LA)
La Lame et le Vent

Le Seigneur de Guerre Todosi est au service de l’Empereur Mitsumune.
Depuis quelques temps, Mitsumune, pourtant si sage avant et ami de Todosi, devient de plus en plus imprévisible. Lorsque l’Empereur ordonne à Todosi
d’attaquer le puissant voisin Shinacea, le Seigneur de Guerre de Nayado choisit de lui obéir par loyauté, mais sait qu’il emmène ses soldats à la mort.

Après la lourde défaite qui s’ensuivit, les quelques survivants se préparaient à leur ultime bataille quand une femme étrange s’approcha de Todosi et lui apposa la marque des Dieux sur le dos, lui donnant ainsi la
force de 100 hommes. Mais cela ne suffit pas, et l’armée de Nayado allait être balayée pour de bon quand les Dieux eux-même, invoqués par Todosi
apparurent… et contre toute attente massacrèrent Todosi!

Le frère du samouraï, devenu moine plutôt que guerrier renia alors les Dieux et jura leur perte.

Par MAC, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur VOIE DU SAMOURAI (LA) #1 – La Lame et le Vent

Que voilà un album intéressant!! Tout d’abord sur un plan graphique. Car le dessin est magnifique, tous les personnages sont maîtrisés à la perfection et ce, tout au long de l’album. Que ce soit les personnages ou
leurs tenues (L’armure de Todosi est superbe), tout est soigné. Les couleurs augmentent encore l’aspect dramatique de la situation des héros, en jouant
la carte des tons gris/verts, associés à des jeux d’ombres importants. Les seules couleurs vives qui apparaissent en grande quantité sont les couleurs
du feu.

L’histoire quant à elle, ne se borne pas à une simple histoire de clans de samouraïs. Ce n’est même pas ce qui prime, à mon avis. Certes, ça va prendre une grande importance dans ce récit, mais c’est l’orientation d’Obo-San, le frère de Todosi qui va dominer la série. Car c’est de lui que va tout dépendre. D’autre part, l’histoire met aussi en action des
personnages ambigus (Les 2 Empereurs ennemis) qui jouent chacun de leurs stratagèmes pour arriver à duper et finalement vaincre l’autre, ajoutant une
dimension supplémentaire au récit.

Un très très bon album!!

Par MAC, le 28 novembre 2003

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