VORTEX
Tess Wood et Campbell
Tess et Campbell sont toujours séparés dans cette année 1827.
Pour échapper à une secte sanguinaire, Campbell va suivre la fille de Lord Carnavon dans une cité souterraine, batie dans le plus grand secret par le père de celle-ci pour abriter un monde parfait, son monde parfait.
Tess, empruntant le même chemin, parviendra à le rejoindre avec le traqueur, leur unique chance de repartir et de sauver le monde des perturbations du temps.
Celles-ci commencent d’ailleur à faire leur apparition à cette époque. La fin est proche et l’heure tourne, mais pas dans le bon sens…
Par RONAN, le 1 janvier 2001
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2 avis sur VORTEX #9 – Tess Wood et Campbell
Et voilà ! C’est fini ! Le dernier et tant attendu tome de Vortex, cette extraordinaire (dans tous les sens du terme) aventure temporelle, vient de trouver une fin.
Verdict : à quoi peut on s’attendre après tant d’attente ? A une fin exceptionnelle ! A un déchainement de l’histoire vers un paroxysme cataclysmique ? Et bien, je pourrais dire que sur ce point, je suis un peu déçu. Je m’attendais à mieux. Ce tome est en fait exactement dans la droite lignée des précédents, c’est à dire intense, plein de multiples rebondissements, avec des dessins toujours somptueux, des couleurs époustouflantes, un scénario qui tient la route jusqu’au bout, en d’autres termes : EXCELLENT
Alors pourquoi déçu me direz vous ? C’est vrai, à bien y regarder, je fais vraiment le difficile. Je suis seulement triste de voir cette superbe série trouver sa fin. Sa fin ? héhé, peut être pas… une lueur subsiste pour une éventuelle suite scénarisée par Stan et Vince et dessinée par … On verra!
En tout cas, merci Stan, merci Vince pour cette excellente série (je l’ai déjà dit?, et bien je le répéte !). Bravo !
Par RONAN, le 2 septembre 2003
A pu ? C’est fini ?
Grumbl ! C’est toujours dommage (et un peu triste) de quitter des héros avec lesquels on a vécu une aventure aussi passionnante…
Ce 11e et dernier tome (vraiment ? ;o)) est tout aussi réussi que les autres. Hélas ! il se lit beaucoup trop vite (comme ses glorieux prédécesseurs, du reste).
En effet, il est très axé sur l’action, puisqu’on retrouve dès la première page Campbell en fâcheuse posture. Malgré le flash-back, le lecteur entre donc rapidement dans le récit et se trouve pris dans un final digne des meilleurs courses contre la montre !
Bien sûr, dans ce type de récit, difficile de croire que les héros vont passer à la trappe, mais j’ai trouvé que l’épilogue était convainquant. Pour les fans, d’ailleurs, comme le signale Ronan, une suite est prévu, ce qui est proprement excitant !
J’émets toutefois une réserve, car le dessin passera à un autre. Or, pour moi, c’est vraiment le point fort de la BD : un graphisme et un design qui fleure bon les styles des années 30-50, des couleurs riches. Un régal !
Alors ? qui relèvera le défi de reprendre les crayons ? : o)
Par PATATRAK, le 3 octobre 2003