WITCHBLADE
Le jeu de la mort
Rien n’a changé dans le petit univers de Sarah Pezzini. Après quelques vacances, elle reprend du service pour enquêter sur un étrange double homicide. Un double meurtre qui se transforme rapidement en triple meurtre, et la conduit sur la piste d’un ancien adversaire et vers le niveau 42. Si côté, travail Sarah constate que sa witchblade attire les affaires les plus étranges qui soient et jette le doute en elle. Côté vie privée, c’est aussi le doute, d’une part il y a le lieutenant Kim qui s’interesse à elle, mais il y a toujours l’ombre de Ian Nothingham. La seule chose à peu près normale dans sa vie, c’est sa petite soeur qui parvient enfin à se ranger avec un de ses collègues.
Mais dans l’ombre Kenneth Irons n’a pas mis de côté ses rêves d’entrer en possession du gantelet magique.
Par eric, le 1 janvier 2001
-
dessinateur :
-
Coloriste :
-
Éditeur :
-
Collection s :
-
-
Sortie :
-
ISBN :
9782756012858
Publicité
Notre avis sur WITCHBLADE #1 – Le jeu de la mort
Que d’eau a coulé sous les ponts depuis le lancement de la série Witchblade et ce au début de la maison d’édition Top Cow. Ici Delcourt a la bonne idée de publier les épisodes 70 à 75, dont la moitié est inédite, afin de boucler l’arc initié par David Wohl. Même si cela devient difficile pour moi de raccrocher les wagons avec la continuité de la série, cet album apporte néanmoins quelques explications sur les relations assez complexes entre chacun des personnages. Et elle nous donne quelques éclaircissements sur certains épisodes comme le level 42 ou Excalibur.
Côté dessin, bien que publié cette année, le travail de Francis Manapul n’est plus inconnu chez nous, notamment depuis la publication de Necromancer qui est pourtant plus récent. Si Sarah Pezzini avait pris naissance sous les coups de crayons de Michael Turner, le travail de Francis Manapul est probablement l’un des plus réussi. Sont trait est élégant et on découvre ici le style qu’il mettra en avant dans Necromancer avec un découpage parfois surprenant mais très agréable. Certes le dessin et le style diffère de celui de Turner qui a l’habitude de dessiner des personnages longilignes. Ici, ils ont des proportions réalistes.
Maintenant, il reste à espérer que les ventes de cet album soient au rendez-vous afin de voir la suite de nouveau publiée chez nous en version française. Ce tome est une agréable mise en bouche, même si elle s’adresse un peu aux fans de la première heure de cette jolie série
Par Eric, le 11 mai 2008
Dans la même série
WITCHBLADE
Publicité