WOLVERINE
La mort de Logan (1)
-Ypres, Belgique : 22 avril 1915.
Un soldat de l’armée canadienne fait des ravages dans les tranchées allemandes jusqu’au moment où les soldats anglais et français sont atteint par un gaz toxique.
-De nos jours, Irak.
Logan aidé par Amir, une atlante, combat une nouvelle organisation qui provoque des conflits dans le monde tel que l’Irak, l’Afghanistan ou le Darfour. Cette nouvelle menace se nomme "Cimeterre".
Par berthold, le 1 janvier 2001
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Sortie :
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ISBN :
_200806104
Notre avis sur WOLVERINE #173 – La mort de Logan (1)
Alors, ce Wolverine numéro 173 est à ne pas manquer.
Il contient les épisodes US suivants :
– Wolverine #57
– Wolverine : Origins #17.
On savait que Logan avait combattu lors de la guerre civile en Espagne et qu’il avait fait la seconde guerre mondiale. On se doutait aussi qu’il avait fait la première guerre mondiale. Et ici, nous le voyons à l’œuvre dans les tranchées. Le scénariste Guggeinheim nous raconte cette partie là ainsi qu’une aventure où le mutant affronte l’organisation "Cimeterre".
Tiens, une petite anecdote : lors de 14-18, Logan n’utilise pas encore ses fameuses griffes. Et nous le voyons lorsqu’il va affronter les allemands se mettre des baïonnettes au dessus des mains en les faisant tenir avec du tissu comme s’il s’agissait des griffes. Ce qui ont lu La Croix de Cazenac (Dargaud) ont vu aussi le jeune Cazenac faire la même chose pour abattre des allemands.
Pour la partie dessin, c’est le vétéran Howard Chaykin qui s’en occupe. Et il le fait comme d’habitude, avec maestria.
Cet épisode est rythmé, dynamique et nous en apprends un peu plus sur Logan jusqu’à sa …mort ! Car Logan meurt à la fin. Guggenheim qui avait déjà abordé le sujet dans un épisode précédent va justement développer ce qui se passe quand le mutant est prêt de passer l’arme à gauche.
Avec Wolverine : Origins, nous le retrouvons en pleine seconde guerre mondiale où il va recroiser la route de Captain America, Bucky et Nick Fury. L’occasion d’en apprendre un peu plus sur son passé. Dillon, comme à l’accoutumée, fait un bon travail.
Un numéro donc à ne pas manquer, sous aucun prétexte.
Par BERTHOLD, le 5 juin 2008