WONDER WOMAN
Blood
Quelque part aux USA, dans une ferme éloignée, une jeune fille, Zola, se retrouve face à un étranger qui essaie de l’aider. Elle lui demande de sortir de chez elle, mais l’étranger lui dit qu’il ne vaut mieux pas, qu’il est là pour l’aider. En effet, deux incroyables créatures passent à l’attaque. L’homme se prend une flèche. Zola découvre que ses attaquants sont deux centaures !
Grace à une clé, elle arrive à s’enfuir et se retrouve à Londres, dans l’appartement d’une femme. Cette dernière se réveille et agrippe l’intruse. Elle lui demande des comptes. Zola découvre que la femme qu’elle a réveillé, qui se nomme Diana n’est autre que Wonder Woman ! Cette dernière va l’aider, elles retournent à l’endroit d’où vient Zola. Là, elle retrouve l’étranger blessé qui n’est autre qu’Hermès.
A partir de là, le destin de Diana risque de bien changer avec ce qu’elle va apprendre petit à petit en compagnie d’Hermès et de Zola…
Par berthold, le 24 juin 2012
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Scénariste :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Univers :
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Sortie :
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ISBN :
1401235638
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Notre avis sur WONDER WOMAN #1 – Blood
Je ne suis pas un grand fan de la belle amazone. En fait, outre la série TV, quelques comics que j’ai pu lire ou encore ces participations à quelques cross overs ou grandes sagas DC, j’ai pu me rendre compte que je ne connaissais pas grand chose sur la mythologie de Wonder Woman.
Mais là, avec le départ du nouvel univers DC, avec l’arrivée au scénario de Brian Azzarello, Wonder Woman connait de gros changements. Je me suis dit que cela devait valoir le détour de lire ce premier tome qui reprend les six premiers épisodes.
Au final, je ne suis pas déçu et je crois même que j’en redemande.
La vision de cette Wonder Woman est vraiment intéressante. Azzarello pose de nouvelles bases et modifie la genèse de l’héroïne. Il y mêle des dieux grecs, fait de Héra, la méchante de l’histoire, nous raconte une histoire de famille et nous entraine dans une farandole d’actions et de suspenses.
Son récit est plus proche d’une série Vertigo que d’une série DC classique.
Le dessin de Cliff Chiang est très bon dans cette série. Son style donne un nouveau genre à Wonder Woman. Il arrive à donner un côté sexy à ses héroïnes, surtout à Hera, même s’il est plutôt dans le mauvais camp. Son trait est assez puissant dans certaines scènes, ce qui donne des passages vraiment spectaculaires. Dans les deux derniers épisodes, c’est Tony Akins qui prend la relève et son trait, même s’il est moins éclatant que celui de Chiang, reste d’un bon niveau.
La "nouvelle" Wonder woman est une belle surprise. On a hâte de lire la suite.
A ne pas manquer !
Par BERTHOLD, le 24 juin 2012
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