WORLD'S END HAREM
Volume 1
Nous sommes en 2040, le jeune Reito découvre qu’il est atteint d’une maladie extrêmement rare et que faute de moyens actuels pour le guérir il va devoir être mis en sommeil artificiel, en attendant qu’une IA puisse développer le bon remède. Il en profite pour déclarer sa flamme à la belle Elisa, qu’il connait depuis son enfance… Cinq ans plus tard, il est réveillé, guéri et découvre un monde dans lequel 99,9% des hommes ont disparu, contaminés par un mystérieux virus… Il ne sont plus que quelques uns, jusque là maintenu dans le même état que Reito, et leur rôle consiste à servir de reproducteur à cette population de femmes… Seulement voilà, le jeune homme ne pense qu’à Elisa qui a étrangement disparu, il y a trois ans…
Par fredgri, le 20 janvier 2020
-
Scénariste :
-
dessinateur :
-
Coloriste :
-
Éditeur :
-
-
Sortie :
-
ISBN :
9782756098951
Publicité
Notre avis sur WORLD’S END HAREM #1 – Volume 1
Quand on découvre cette série on se dit qu’il doit s’agir d’une énième série à prétexte pour exhiber des femmes déshabillées, et jusqu’à un certain point c’est quand même un peu le cas, avouons le ! Toutefois, derrière cette façade se cache aussi une intrigue assez captivante, qui tient en haleine, quand bien même elle est régulièrement rythmée par des plans assez suggestifs et décomplexés, sans pour autant tomber dans le gros hentai qui tâche !
Les auteurs développent néanmoins leur histoire en accentuant les caractérisations, même si je trouve que jusque là on évite à peine les archétypes du genre, le jeune homme un peu coincé qui est tenté par toutes celles qui l’entourent, la sublime assistante qui l’accompagne etc. Tout est là pour progressivement amener le récit à déraper vers des scénettes déshabillées !
Alors ça reste gentiment coquin, sans trop en faire, en sachant habilement ne pas dépasser les limites, tout en sachant interpeler le lecteur curieux grâce à la plastique de ces héroïnes !
L’idée du "dernier homme" n’est pas très neuve, et d’autre l’ont exploitée avec beaucoup plus d’adresse (notamment Brian Vaughan avec l’incroyable "The Last Man"), mais cette nouvelle série rajoute un filtre assez léger plutôt sympathique.
Nous verrons ou l’intrigue nous conduira, quand même !
Par FredGri, le 20 janvier 2020
Publicité