WYRD
La faille
Pacifique sud, 25 juin 1943, les japonais attaque une petite île ou l’armée américaine a construit une base aérienne. Le combat fait rage et des avions des deux côtés sont abattus. Mais le plus étrange, c’est que des avions et pilotes disparaissent des radars.
Autre lieu, autre temps, tybers discute avec oscar de la doctrine de Wyrd en lui faisant part de sa désapprobation, ce qui inquiète son ami. La discussion est interrompue rapidement parce que Tybers doit partir en mission de surveillance dans l’espace. Au même moment, eric urdscheller et son équipage découvre un vaisseau cargo. Ils savent qu’à l’intérieur se trouvent des humains enlevés par la confédération temporaliste à d’autre période de l’histoire humaine.
Par fef, le 1 janvier 2001
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
2845385374
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Notre avis sur WYRD #1 – La faille
Premier tome d’une nouvelle série qui a eu beaucoup de mal à sortir. Prévue au départ chez delcourt, elle paraît deux ans plus tard chez panini qui est habituellement un éditeur des comics Marvel et DC en France.
C’est un tome assez étrange. On découvre principalement les personnages et certains groupes mais il est difficile de se faire une idée bien précise de la situation. On possède pratiquement autant d’informations que les pilotes américains enlevés au début de l’album. Ce qui fait que j’ai fermé cet album avec beaucoup de questions qui, j’espère, trouveront pas mal de leur réponse dans le tome 2.
Certaines trouvailles comme le robot chimère ainsi que le dessin des intérieurs des vaisseaux donne une ambiance très lourde et le tout associés à des couleurs froides avec des textures qui donne un aspect ‘crade’ aux décors me font penser à des films de Cronenberg comme ExistenZ ou on comprend quelque chose à l’histoire que vers la fin du film.
On sent déjà certains éléments qui donnent des pistes vers lesquelles pourrait aller l’histoire de cette série. Mais je ne m’avancerais vers aucune à la fin de ce premier tome pour continuer à être surpris.
Par Fef, le 29 décembre 2005