X-MEN EXTRA
Les 198
Amara Aquilla alias Magma, mutante liée aux profondeurs de la Terre tombe amoureuse d’un mutant qui lui ressemble tant par son pouvoir que par son charisme. Malheureusement, alors qu’ils s’adonnent avec plaisir à la visite du Volcan de La Cumbre, le remaniement de la réalité opéré par Wanda Maximoff provoque la mort de ce mutant, qui périt par les flammes.
Magma perd alors tout contrôle et provoque l’éruption du Volcan.
Cyclope décide alors d’envoyer Empath, un mutant capable d’altérer la chimie corporelle, afin de la calmer et la récupérer.
pendant ce temps, la vie se fait dure a l’école Xavier, transformée en immense camp afin de rassembler les 198 mutants survivants. l’atmosphère y est lourde : Des victimes y côtoient leurs anciens bourreaux, mais tous sont logés à la même enseigne, surveillés de prés par les Sentinelles dernière génération de l’ONE.
Mais qui est donc alors ce mutant oméga qui apparait a l’insu de tous?
Par Matt, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
_116021642
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Notre avis sur X-MEN EXTRA #58 – Les 198
Ca bouge dans l’univers X, et c’est peu de le dire!
La couverture de ce numéro attire tout de suite les regards, on regrettera juste l’absence de cohérence avec le récit qu’elle est censée présenter…
Apres l’ère House Of M, on entre dans l’ère Décimation. Mais qu’est-ce?
C’est l’après « jour M » qui narre la vie des 198 mutants qui n’ont pas été humanisés par Wanda Maximoff.
L’idée parait sympathique au premier abord, quoique trop proche scénaristiquement de la série télé les 4400 à mon goût…
Le décor de ce numéro est planté par le numéro 117 d’X-Men : les mutants sont "invités" à s’installer à l’institut Xavier pour leur sécurité. Ainsi se rejoignent des mutants inconnus, des victimes mais aussi des bourreaux, comme certains anciens maraudeurs. Tous sont placés sous la responsabilité de l’ONE et de ses sentinelles.
Des mutants se détachent très vite du lot, et c’est autour d’eux que le récit va s’articuler.
On regrettera tout de même le choix de Jim Muniz au dessin, qui n’a pas à mon sens le trait assez sûr pour s’occuper d’un moment aussi important dans l’univers X. j’en veux pour preuve le cou démesuré d’Amara sur les premières planches, reflet d’erreurs de proportion qui ponctuent le récit, dommage…
Vous devriez tout de même apprécier le récit, on espère juste qu’on ne nous embarque pas encore pour 10 numéros, le risque étant de décrocher avant la fin…
Par Matt, le 7 octobre 2006
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